Cent-vingt lycéens de Jules Garnier ont assisté ce mercredi à la projection du documentaire « corps de la ville », de Nicolas Habas, au cœur de l’auditorium de la province Sud. Ils ont ensuite pu échanger avec six artistes, sur les dix ayant contribué au documentaire.
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Ils ont dû un par un, exprimer en un seul mot, ce que le documentaire leur avait inspiré. Les jeunes lycéens de Jules Garnier, tous volontaires, ont décidé en ce mercredi après-midi de venir assister à la projection du documentaire de 52 minutes, réalisé par Nicolas Habas. Une vidéo autour de dix danseurs locaux, qui entraîne le spectateur dans une balade, au travers de dix lieux emblématiques du pays.
Une véritable découverte appréciée par les élèves, à l’image de Simijané Yeiwi « d’une certaine manière, il a une dimension spirituelle. On voit les danseurs bouger sans mot, on est là, on réfléchit. C’est intéressant de regarder ce film. Le dernier artiste, au barrage de Yaté a fait une prestation interessante avec des mouvements assez lents. Il y a une sorte de plénitude avec la nature ».
Une passion chevillée au corps, partagée de bon cœur avec la jeunesse Calédonienne.
Le reportage de Medriko Peteisi :
L’occasion de sensibiliser le jeune public, à l’égalité entre les filles et les garçons, dans les réalisations artistiques. Les précisions de Véronique Mollot, membre du vice-rectorat, en charge du comité 3e l’éducation pour l’égalité à l’école, au micro de Medriko Peteisi :
Un documentaire à retrouver ici :
Une véritable découverte appréciée par les élèves, à l’image de Simijané Yeiwi « d’une certaine manière, il a une dimension spirituelle. On voit les danseurs bouger sans mot, on est là, on réfléchit. C’est intéressant de regarder ce film. Le dernier artiste, au barrage de Yaté a fait une prestation interessante avec des mouvements assez lents. Il y a une sorte de plénitude avec la nature ».
Partage
Cet artiste, c’est Richard Digoué, qui danse au cœur de Yaté, entouré de sa terre rouge et de son lac artificiel. Le chorégraphe n’a pas choisi ce lieu au hasard, car c’est celui qui l’a vu grandir. À ses côtés, d’autres artistes exposent leur virtuosité dans ce documentaire, à l’image de Simane, effectuant ses mouvements sur l’îlot Signal, la troupe de Kumo devant l’usine de Doniambo, ou encore Soufiane, danseur depuis plus de vingt ans, qui a partagé sa passion du Hip-Hop, dans l’enceinte du Médipôle.Je me suis retrouvé dans cet hôpital et je me suis rendu compte de la chance que j’avais, d’y être pour danser et ne pas d’y être pour être opéré. C’était assez étrange comme expérience, mais surtout très enrichissant - Soufiane, danseur
Une passion chevillée au corps, partagée de bon cœur avec la jeunesse Calédonienne.
Le reportage de Medriko Peteisi :
Corps de la ville reportage
L’occasion de sensibiliser le jeune public, à l’égalité entre les filles et les garçons, dans les réalisations artistiques. Les précisions de Véronique Mollot, membre du vice-rectorat, en charge du comité 3e l’éducation pour l’égalité à l’école, au micro de Medriko Peteisi :
Corps de la ville Interview Véronique Mollot
Un documentaire à retrouver ici :