Le cas s’est déclaré à l’arrivée à Papeete où le vol devait déposer des militaires et du fret. Finalement, il a pu repartir, le test n'ayant détecté qu'une très faible charge virale. L'équipage était passé en Calédonie.
C’est « Tahiti infos » qui a annoncé la nouvelle. Un cas de Covid-19 a été détecté parmi l’équipage d'un avion A 330 Phénix de l’armée française.
Le vol était arrivé lundi à Papeete où il devait y déposer du matériel médical et désinfectant et douze militaires en renfort de l’opération « Résilience ».
C’est là que les tests de dépistage ont révélé ce cas positif.
Et cet après midi, on apprend que le test a détecté une très faible charge virale, ce qu’on appelle une cicatrice ou un phénomène de persistance de trace virale. Un phénomène connu qui est visible plusieurs semaines après la fin des signes cliniques.
En clair, le militaire a bien eu le Covid-19, mais au mois de mars, et est guéri depuis longtemps. Il n’est plus contagieux.
Le vol était arrivé lundi à Papeete où il devait y déposer du matériel médical et désinfectant et douze militaires en renfort de l’opération « Résilience ».
C’est là que les tests de dépistage ont révélé ce cas positif.
Un transit de quelques heures à la Tontouta
Durant son escale de 48 h à Papeete, l’équipage avait été isolé, tout comme lors de son passage en Calédonie quelques heures plus tôt. Les militaires étaient restés strictement confinés sur la base aérienne de la Tontouta entre leur arrivée dimanche soir et leur départ lundi matin.
Persistance de trace virale
Et cet après midi, on apprend que le test a détecté une très faible charge virale, ce qu’on appelle une cicatrice ou un phénomène de persistance de trace virale. Un phénomène connu qui est visible plusieurs semaines après la fin des signes cliniques. En clair, le militaire a bien eu le Covid-19, mais au mois de mars, et est guéri depuis longtemps. Il n’est plus contagieux.