Pour les législatives de 2017, il pourrait y avoir 11 candidats dans les deux circonscriptions calédoniennes. Mais pour l'heure, rien n'est encore certain. Seule la candidature de Gaël Yanno est officielle !
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Il "pourrait" y avoir 11 candidats pour les législatives dans les deux circonscriptions calédoniennes.
Seule la candidature de Gaël Yanno est officielle !
L’ancien député et adversaire malheureux en 2012 de la députée-maire de Nouméa a été le premier à dégainer sa candidature, dans la première circonscription, début novembre.
Gil Brial pourrait se présenter pour l’UCF dans la deuxième circonscription, rien d’officiel pour le moment.
Toujours chez les loyalistes, le Front National présentera des candidats dans les deux circonscriptions.
Bianca Hénin partira pour la troisième fois dans la deuxième.
Dans la première, ce sera un nouveau visage. Les noms seront officialisés à la rentrée prochaine. Le Front national espère surfer sur la dynamique des présidentielles.
Du côté du Rassemblement-Les Républicains, le mouvement local soutient la candidature de Bernard Deladrière dans la 1ère circonscription. Il n’a pas encore adoubé son poulain pour la deuxième circonscription mais "reste attentif" aux candidatures. Quoi qu’il en soit, le parti rappelle qu’il n’y aura pas de primaires et que "le conseil national des Républicains se réunira, dès le 14 janvier prochain à Paris, pour accorder les investitures au plan national."
Du côté des indépendantistes, le Palika s’affiche à contre-courant de l’Union Calédonienne et a confirmé sa participation aux législatives.
Le parti présentera des candidats dans les deux circonscriptions. Le nom de Louis Mapou, le président du groupe UNI au Congrès circule déjà.
Jean-Pierre Djaïwé, en course dans la deuxième circonscription en 2012, ne repartira pas en 2017. Les noms des candidats Palika seront officialisés lors d’une réunion extraordinaire, probablement début février.
Enfin, et c’était la surprise de la fin de l’année 2016, l’Union calédonienne avait annoncé à l’issue de son Congrès annuel, qu’elle ne présenterait pas de candidats. La décision a des relents de 1984, même si le parti de Daniel Goa n’utilise pas la sémantique d’alors, évoquant une "non-participation", plutôt qu’un boycott.
Seule la candidature de Gaël Yanno est officielle !
L’ancien député et adversaire malheureux en 2012 de la députée-maire de Nouméa a été le premier à dégainer sa candidature, dans la première circonscription, début novembre.
Gil Brial pourrait se présenter pour l’UCF dans la deuxième circonscription, rien d’officiel pour le moment.
Toujours chez les loyalistes, le Front National présentera des candidats dans les deux circonscriptions.
Bianca Hénin partira pour la troisième fois dans la deuxième.
Dans la première, ce sera un nouveau visage. Les noms seront officialisés à la rentrée prochaine. Le Front national espère surfer sur la dynamique des présidentielles.
Du côté du Rassemblement-Les Républicains, le mouvement local soutient la candidature de Bernard Deladrière dans la 1ère circonscription. Il n’a pas encore adoubé son poulain pour la deuxième circonscription mais "reste attentif" aux candidatures. Quoi qu’il en soit, le parti rappelle qu’il n’y aura pas de primaires et que "le conseil national des Républicains se réunira, dès le 14 janvier prochain à Paris, pour accorder les investitures au plan national."
Du côté des indépendantistes, le Palika s’affiche à contre-courant de l’Union Calédonienne et a confirmé sa participation aux législatives.
Le parti présentera des candidats dans les deux circonscriptions. Le nom de Louis Mapou, le président du groupe UNI au Congrès circule déjà.
Jean-Pierre Djaïwé, en course dans la deuxième circonscription en 2012, ne repartira pas en 2017. Les noms des candidats Palika seront officialisés lors d’une réunion extraordinaire, probablement début février.
Enfin, et c’était la surprise de la fin de l’année 2016, l’Union calédonienne avait annoncé à l’issue de son Congrès annuel, qu’elle ne présenterait pas de candidats. La décision a des relents de 1984, même si le parti de Daniel Goa n’utilise pas la sémantique d’alors, évoquant une "non-participation", plutôt qu’un boycott.