C’est un projet porté par le gouvernement, pour permettre de faciliter l’organisation de la consultation référendaire, du 12 décembre prochain. En cas de validation de la mesure, les enfants quitteraient les bancs de l’école le 10 décembre, au lieu du 17.
Faciliter l'organisation de la consultation
Une initiative encore à l’étude, précise Isabelle Champmoreau, membre du gouvernement en charge de l’enseignement. "Dès que nous avons eu la date du référendum, on a agit sur la date des examens. On a avancé le brevet d’une semaine, puisqu’il devait avoir lieu le 13 décembre. Et là, je travaille sur une éventuelle fin des cours le 10 décembre, pour pouvoir finir l’année dans les meilleures conditions et être plus tranquille après le référendum".
Un projet étudié afin de faciliter l’organisation du référendum. "Nous n’avons pas de vision au niveau de la sécurité des populations et pour des raisons très pratiques, puisque les mairies occuperont également les bureaux de vote à ce moment là", poursuit la membre du gouvernement en charge de l’enseignement.
Décision prise par arrêté
Si la décision est actée, elle n’aura en revanche, aucune conséquence sur les vacances d’octobre et la rentrée 2022. "On est encore sur une période de consultation, il y aura une commission qui sera réunie, le Conseil consultatif de l’enseignement qui réunit tous les partenaires. Et ensuite, une décision devra être prise par arrêté, au niveau du gouvernement. Par contre, rien ne changera sur les vacances d’octobre. Et rien ne changera, à la rentrée 2022", conclut Isabelle Champmoreau.
Isabelle Champmoreau, membre du gouvernement en charge de l'enseignement
Pas de conséquence sur les examens
De son côté le vice-rectorat rappelle que quelle que soit la décision, elle n'aura pas d'impact sur l'organisation des examens.