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Une quinzaine d’employés de Carrefour Kenu-In sont en grève. Depuis ce samedi matin, ces adhérents de l'USTKE sont installés devant l’entrée de la grande surface. Ils dénoncent une surcharge de travail et des pressions de la part de la Direction.
"Ce mouvement fait suite à une autre mobilisation initiée en décembre 2017. Malgré les différentes réunions au niveau des instances des représentants du personnel, rien n'a bougé, au contraire la politique sociale est devenue de plus en plus exécrable. Aujourd'hui, on nous oblige à faire de la polyvalence et l'on se retrouve avec des salariés fatigués, cassés physiquement et qui se font harceler à coups de courriers et de convocations" explique Marie Chanel Mataila, Délégué syndical du STKE Carrefour.
Le PDG de Carrefour viendra rencontrer les grévistes dans les prochains jours a déclaré la direction. Les grévistes qui restent, quant à eux, déterminés ont annoncé qu’ils resteraient sur le terrain tant que « la politique sociale ne s’améliora pas ».
"Ce mouvement fait suite à une autre mobilisation initiée en décembre 2017. Malgré les différentes réunions au niveau des instances des représentants du personnel, rien n'a bougé, au contraire la politique sociale est devenue de plus en plus exécrable. Aujourd'hui, on nous oblige à faire de la polyvalence et l'on se retrouve avec des salariés fatigués, cassés physiquement et qui se font harceler à coups de courriers et de convocations" explique Marie Chanel Mataila, Délégué syndical du STKE Carrefour.
Le PDG de Carrefour viendra rencontrer les grévistes dans les prochains jours a déclaré la direction. Les grévistes qui restent, quant à eux, déterminés ont annoncé qu’ils resteraient sur le terrain tant que « la politique sociale ne s’améliora pas ».