Le malaise semble perdurer à la restauration Newrest au 4ème km, tant sur le site de Goro qu'au médipôle.
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Newrest représente 3850 repas servis chaque jour et 295 employés. Le personnel, en grève aujourd’hui, reproche à la direction de Newrest un manque de dialogue et le non respect du code du travail.
Nizié TAKATAÏ, déléguée syndicale SOENC commerce, travaille dans la restauration depuis 2008. "Je n'ai jamais été confrontée à une telle direction qui n'a aucun dialogue social. Résultat, hier nous avons travaillé dans des conditions très difficiles. J'ai vu des gens qui travaillent depuis 30 ans dans cette entreprise pleurer devant moi. Ils me disaient qu'ils n'avaient jamais vu ça! On ne peut plus continuer comme ça, d'où cette journée morte pour que tout le monde comprenne la situation dans laquelle nous sommes. Aujourd'hui, nous ne demandons qu'à discuter."
"Les conséquences risquent d'être graves pour tous les établissements scolaires mais il ne tient qu'à la direction d'en prendre compte. Pas seulement les syndicats. Cela fait un mois que nos collègues tirent la sonnette d'alarme. Nous ne demandons pas un 14ème mois mais le simple respect des êtres humains." rajoute Elvis Chambonnier, délégué syndical USOENC du Médipôle.
Contactée, la direction n'a pas souhaité s'exprimer pour l'instant.
Nizié TAKATAÏ, déléguée syndicale SOENC commerce, travaille dans la restauration depuis 2008. "Je n'ai jamais été confrontée à une telle direction qui n'a aucun dialogue social. Résultat, hier nous avons travaillé dans des conditions très difficiles. J'ai vu des gens qui travaillent depuis 30 ans dans cette entreprise pleurer devant moi. Ils me disaient qu'ils n'avaient jamais vu ça! On ne peut plus continuer comme ça, d'où cette journée morte pour que tout le monde comprenne la situation dans laquelle nous sommes. Aujourd'hui, nous ne demandons qu'à discuter."
"Les conséquences risquent d'être graves pour tous les établissements scolaires mais il ne tient qu'à la direction d'en prendre compte. Pas seulement les syndicats. Cela fait un mois que nos collègues tirent la sonnette d'alarme. Nous ne demandons pas un 14ème mois mais le simple respect des êtres humains." rajoute Elvis Chambonnier, délégué syndical USOENC du Médipôle.
Contactée, la direction n'a pas souhaité s'exprimer pour l'instant.