La journée nationale des mémoires de la traite, des esclavages et de leurs abolitions commémorée aussi en Nouvelle-Calédonie ce matin. Aux côtés de la communauté des Antilles-Guyane, les autorités civiles et militaires ont participé à une cérémonie ce matin au monument aux morts de Nouméa.
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« Nous, descendants de ceux qui ont souffert l’esclavage, nous héritons de ce qu’ils ont accompli, leur patience et leur ténacité, l’humilité avec laquelle ils ont maintenu la mémoire du pays d’avant. »
C’est par la lecture de cet extrait du livre « Mémoires des esclavages » du poète martiniquais Edouard Glissant qu’a débuté la cérémonie de cette journée nationale des mémoires de la traite, des esclavages et de leurs abolitions.
Les représentants des institutions civiles et militaires ont procédé ensuite au dépôt de gerbe.
Parmi eux, le sénateur Gérard Poadja, Dominique Molé, le 3ème vice-président de la Province Sud ou encore Thierry Santa, le président du Congrès, dont Martine Nollet a recueilli les réactions.
La communauté des Antilles Guyane représenterait environ 3000 personnes en Nouvelle-Calédonie, dont le président de l’Amicale, Jean Saussay qui revient sur cette journée.
C’est en effet suite à la décision de Jacques Chirac en 2001 que la France se souvient tous les 10 mai des terribles souffrances infligées par l’esclavage.
Les commémorations n’ont en fait démarré que depuis 2006.
Et depuis, un peu partout sur le territoire national ce 10 mai est l’occasion d’un retour sur une page des plus sombres de l’humanité.
C’est par la lecture de cet extrait du livre « Mémoires des esclavages » du poète martiniquais Edouard Glissant qu’a débuté la cérémonie de cette journée nationale des mémoires de la traite, des esclavages et de leurs abolitions.
Les représentants des institutions civiles et militaires ont procédé ensuite au dépôt de gerbe.
Parmi eux, le sénateur Gérard Poadja, Dominique Molé, le 3ème vice-président de la Province Sud ou encore Thierry Santa, le président du Congrès, dont Martine Nollet a recueilli les réactions.
La communauté des Antilles Guyane représenterait environ 3000 personnes en Nouvelle-Calédonie, dont le président de l’Amicale, Jean Saussay qui revient sur cette journée.
C’est en effet suite à la décision de Jacques Chirac en 2001 que la France se souvient tous les 10 mai des terribles souffrances infligées par l’esclavage.
Les commémorations n’ont en fait démarré que depuis 2006.
Et depuis, un peu partout sur le territoire national ce 10 mai est l’occasion d’un retour sur une page des plus sombres de l’humanité.