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Un homme de 62 ans a été placé en garde à vue mardi. Il se présente comme l’instigateur du « cortège constitué d’une vingtaine de véhicules qui a généré des troubles en centre-ville et le long des baies » le 21 septembre, à Nouméa, précise le procureur de la République dans un communiqué envoyé aujourd’hui.
Cette action, visiblement menée par le « Collectif des riverains du Pacifique et de la désobéissance civique » faisait l’objet d’une enquête confiée à la police nationale. Le mis en cause comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Nouméa le 17 décembre pour « organisation de manifestation sans déclaration et entrave à la circulation ». Des infractions passibles de deux ans de prison.
Le soir de cette action, l’Avenir en confiance avait vivement réagi à cette mobilisation. Dans un communiqué, le mouvement avait déclaré que ces véhicules diffusaient « des propos xénophobes et racistes à l’encontre de la France, appelant par exemple la population calédonienne à la rébellion contre la propriété privée et l’incitant à défier l’ordre républicain ». Pour l’heure, aucune poursuite ne semble engagée contre le ou les auteurs de ces propos qui, s’ils sont avérés, constituent une infraction.
Cette action, visiblement menée par le « Collectif des riverains du Pacifique et de la désobéissance civique » faisait l’objet d’une enquête confiée à la police nationale. Le mis en cause comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Nouméa le 17 décembre pour « organisation de manifestation sans déclaration et entrave à la circulation ». Des infractions passibles de deux ans de prison.
Le soir de cette action, l’Avenir en confiance avait vivement réagi à cette mobilisation. Dans un communiqué, le mouvement avait déclaré que ces véhicules diffusaient « des propos xénophobes et racistes à l’encontre de la France, appelant par exemple la population calédonienne à la rébellion contre la propriété privée et l’incitant à défier l’ordre républicain ». Pour l’heure, aucune poursuite ne semble engagée contre le ou les auteurs de ces propos qui, s’ils sont avérés, constituent une infraction.