Ils sont actuellement 340 en confinement dans les hôtels calédoniens réquisitionnés par le gouvernement. Un passage obligé pour poser le pied sur le Caillou, encore épargné par l'épidémie de Covid-19. Cette semaine, NC la 1ère vous fait partager les expériences et ressentis de quelques confinés.
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Nous poursuivons notre série de rencontres avec des confinés, chacun enfin au bout d’un parcours particulier et parfois compliqué. Aujourd’hui, témoignage de Paulo et Surita, partis en février en Métropole dans leur famille. Une chance d’avoir un lieu où rester quelques temps, ils en ont conscience. Il leur aura fallu quatre mois pour avoir un billet et retrouver leurs proches sur le territoire.
Paulo et Surita
Depuis qu’ils sont à la retraite, Paulo et Surita aiment voyager. Leur bonheur, c’est de rendre visite à leur fils et leurs deux petits-fils de 14 et 15 ans en métropole. « Nous allons à Lyon depuis que je suis à la retraite. Pour nous c’est un besoin, et on y reste plusieurs mois », dit Paulo.
Cette année, comme d’habitude, Paulo et Surita prennent leur biller pour Lyon le 14 février. « Nous pensions rester environ 4 mois, jusqu’en juin, raconte Surita, mais cette année, c’était plus long que d’habitude… ».
« Heureusement nous étions hébergés chez notre fils pendant le confinement en France, mais ça a été compliqué depuis le mois de juin pour pouvoir rentrer en Nouvelle-Calédonie. » Apres plusieurs tentatives, les deux retraités réussissent enfin à obtenir un billet pour le 1er octobre.
« Nous étions contents de passer ce temps avec nos petits-enfants, mais maintenant nous sommes heureux de revoir les autres petits-enfants que nous avons ici », conclut Paulo. Tous deux parviennent à la fin de ce long périple pour rentrer au pays. Ils espèrent le même soulagement pour tous les Calédoniens encore bloqués à l’extérieur du Caillou.
Paulo et Surita
« Mon bonheur c’est le voyage, j’aime me promener. »
Depuis qu’ils sont à la retraite, Paulo et Surita aiment voyager. Leur bonheur, c’est de rendre visite à leur fils et leurs deux petits-fils de 14 et 15 ans en métropole. « Nous allons à Lyon depuis que je suis à la retraite. Pour nous c’est un besoin, et on y reste plusieurs mois », dit Paulo.Cette année, comme d’habitude, Paulo et Surita prennent leur biller pour Lyon le 14 février. « Nous pensions rester environ 4 mois, jusqu’en juin, raconte Surita, mais cette année, c’était plus long que d’habitude… ».
« Heureusement nous étions hébergés chez notre fils pendant le confinement en France, mais ça a été compliqué depuis le mois de juin pour pouvoir rentrer en Nouvelle-Calédonie. » Apres plusieurs tentatives, les deux retraités réussissent enfin à obtenir un billet pour le 1er octobre.
« Nous étions contents de passer ce temps avec nos petits-enfants, mais maintenant nous sommes heureux de revoir les autres petits-enfants que nous avons ici », conclut Paulo. Tous deux parviennent à la fin de ce long périple pour rentrer au pays. Ils espèrent le même soulagement pour tous les Calédoniens encore bloqués à l’extérieur du Caillou.