Elu une 1ère fois le 15 juin dernier, il avait démissionné dans la foulée suite à une irrégularité dans le délai de convocation du conseil municipal.
Il a donc été à nouveau désigné ce lundi, avec 21 voix, contre 2 absentions et 6 bulletins blancs. Mais cette nouvelle élection est encore contestée.
Il a donc été à nouveau désigné ce lundi, avec 21 voix, contre 2 absentions et 6 bulletins blancs. Mais cette nouvelle élection est encore contestée.
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« A partir d’aujourd’hui, je peux réellement commencer mon travail avec mon équipe », souligne Patrick Robelin après son élection au poste de maire. Mais cette sérénité pourrait être gâchée par un nouveau recours. Valentino Matuafaufau entend une nouvelle fois saisir le tribunal administratif pour contester le scrutin de ce lundi. Pour la tête de liste « Bourail autrement », le délai de convocation n’a toujours pas été respecté, ni la procédure suite à la démission de Patrick Robelin. « Les choses doivent être faites dans un cadre légal et règlementaire » martèle Valentino Matuafaufau qui entend également demander à l’Etat d’intervenir pour sortir de ce qu’il qualifie de simulacre et de parodie.
Du côté du maire élu, on se dit serein. « Nous avons très bien préparé cette séance du conseil municipal » indique Patrick Robelin, « nous l’avons fait en concertation avec toutes les autorités qui nous ont apporté leur éclairage ».
C’est désormais au tribunal administratif, s’il est effectivement saisi, de trancher sur la légalité ou non de cette élection.
Du côté du maire élu, on se dit serein. « Nous avons très bien préparé cette séance du conseil municipal » indique Patrick Robelin, « nous l’avons fait en concertation avec toutes les autorités qui nous ont apporté leur éclairage ».
C’est désormais au tribunal administratif, s’il est effectivement saisi, de trancher sur la légalité ou non de cette élection.