250 000 véhicules en circulation devraient ainsi se mettre aux normes, avant le 8 mars prochain. Une opération de grande ampleur pour les fabricants. Certains professionnels demandent un délai supplémentaire.L'Union Populaire Républicaine,elle, juge "illégale" cette mesure .
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Les garages et centres auto sont pris d'assaut depuis quelques jours. Les automobilistes s'activent pour changer leurs plaques d'immatriculation. 250 000 véhicules en circulation devraient ainsi se mettre aux normes, avant le 8 mars prochain.
Reportage de Lorelei Aubry et Michel Bouilliez
Comptez 2 500 F les deux plaques, pose comprise.
Cette mesure voulue par le gouvernement vise à améliorer la lisibilité des plaques afin de rendre plus efficaces les contrôles routiers.Cette nouvelle norme est inscrite dans le plan quinquennal de la sécurité routière. Passée cette date, les contrevenants s’exposent à une amende de 15 000 francs CFP.
Une mesure jugée illégale
Une mesure obligatoire pour le gouvernement, mais jugée illégale par l’UPR, l’Union Populaire Républicaine.
Pour l’UPR, cette mesure administrative n’est pas rétroactive.
A ce titre, elle a interpellé le gouvernement et déposé un courrier pour dénoncer la délibération du 23 février 2018.
Les précisions de Michel Hanocque, délégué territorial adjoint de l’UPR l’union populaire républicaine.
Reportage de Lorelei Aubry et Michel Bouilliez
Comptez 2 500 F les deux plaques, pose comprise.
Cette mesure voulue par le gouvernement vise à améliorer la lisibilité des plaques afin de rendre plus efficaces les contrôles routiers.Cette nouvelle norme est inscrite dans le plan quinquennal de la sécurité routière. Passée cette date, les contrevenants s’exposent à une amende de 15 000 francs CFP.
Une mesure jugée illégale
Une mesure obligatoire pour le gouvernement, mais jugée illégale par l’UPR, l’Union Populaire Républicaine.
Pour l’UPR, cette mesure administrative n’est pas rétroactive.
A ce titre, elle a interpellé le gouvernement et déposé un courrier pour dénoncer la délibération du 23 février 2018.
Les précisions de Michel Hanocque, délégué territorial adjoint de l’UPR l’union populaire républicaine.