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C’est un plaisancier qui a alerté les autorités tôt ce mercredi matin, sur la présence d’une nappe de 2 500 mètres carrés à proximité du récif de « sèche croissant » , situé au cœur d’une aire marine protégée.
Le centre de traitement des crises maritimes et la direction de la Sécurité civile et de la gestion des risques se sont rendues sur les lieux, pour accélérer la dispersion de la pollution.
Le centre d’expertises pratiques de lutte antipollution indique qu’il ne s’agit ni d’hydrocarbures, ni de produits chimiques mais de corps organiques dont la nature reste à déterminer.