Jusqu’au 15 novembre, le festival « Panorama du cinéma européen », qui s'est ouvert ce mercredi, propose des films venus du Vieux-Continent, inédits sur le territoire. Les séances ont lieu au Cinécity de Nouméa mais aussi en Brousse.
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Le Panorama du cinéma européen, c’est un tour d’Europe en douze films, de la Grande-Bretagne à l’Italie, en passant par la Bosnie et la Grèce. La plupart des séances se déroulent à Nouméa au Cinécity, mais des projections sont également programmées à La Foa, Boulouparis, Bourail et Koné. Le coup d’envoi a été donné ce mercredi après-midi avec la projection de Park, film grec de Sofia Exarchou.
Le festival est l'occasion de voyager, alors que « plus que jamais cette année, l’on en a vraiment besoin », sourit Delphine Ollier, chargée de la programmation. L’organisation travaille ainsi d’arrache-pied en amont pour proposer un programme varié, poursuit-elle : « La production européenne est vraiment riche et diversifiée donc il y a vraiment une volonté au moment où on travaille sur la sélection à la fois de varier les pays de production, les genres de films. C’est vrai que l’Europe est en souffrance sur certains aspects économiques ou sociaux. Donc on a tenu à inclure quand même des films plus légers comme Eva en août par exemple ou Poissonsexe qui est une comédie assez inattendue, qui a du fond mais qui est complètement loufoque. »
Le programme du festival :
On a tenu à inclure quand même des films plus légers comme Eva en août par exemple ou Poissonsexe qui est une comédie assez inattendue, qui a du fond mais qui est complètement loufoque. »
Le festival est l'occasion de voyager, alors que « plus que jamais cette année, l’on en a vraiment besoin », sourit Delphine Ollier, chargée de la programmation. L’organisation travaille ainsi d’arrache-pied en amont pour proposer un programme varié, poursuit-elle : « La production européenne est vraiment riche et diversifiée donc il y a vraiment une volonté au moment où on travaille sur la sélection à la fois de varier les pays de production, les genres de films. C’est vrai que l’Europe est en souffrance sur certains aspects économiques ou sociaux. Donc on a tenu à inclure quand même des films plus légers comme Eva en août par exemple ou Poissonsexe qui est une comédie assez inattendue, qui a du fond mais qui est complètement loufoque. »
De la quinzaine au panorama
Les habitués du festival l’auront remarqué, on ne par plus de « quinzaine », mais de « panorama ». La raison : un changement dans l’organisation. « Pendant dix ans, c’était un événement complétement porté par le gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, explique Delphine Ollier. On sait bien que c’est plus difficile pour eux de mettre autant d’argent dans la culture donc heureusement on a eu de nombreux partenaires, dont le Cinécity, qui ont permis de maintenir l’événement. Ça nous a semblé logique néanmoins de faire évoluer l’intitulé, mais tout en gardant la ligne éditoriale du festival. »Delphine Ollier répond aux questions de Coralie Cochin
Le programme du festival :