Gaël Musquet se définit comme un hacker activiste à la tête de son association HAND : Hackers against natural disasters, il teste toutes les réponses technologiques possibles aux crises naturelles. Et pose à travers le monde la question : sommes-nous bien préparés face aux catastrophes naturelles ?
Gaël Musquet a animé la dernière conférence du salon Diginova. Fervent défenseur de la nécessité de se tenir prêt face aux catastrophes naturelles, l'orateur a démontré, exemples à l'appui, que nos positions confortables grâce à l'univers technologique que l'on connaît, ne font pas long feu face aux manifestations de la Nature.
Météorologue, par conviction, Gaël Musquet a été sensibilisé très jeune aux problèmes des populations face aux désastres comme les ouragans ou séismes. Son postulat de départ qui est aussi un constat, c'est que les habitants touchés par ces événements peuvent être rapidement isolés en particulier les insulaires.
En tant que citoyen, il cherchait une façon de résoudre cette équation et c'est via la création de l'association HAND qu'il a amené des éléments de réponse.
Grâce à des opération comme Caribe Wave, l’exercice annuel sur les tsunamis de la Commission océanographique intergouvernementale (IOC) de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). HAND a pu démontré qu'il est possible d'agir sans passer par l'Etat avec du matériel approprié qu'il détaille dans sa conférence.
Des eNode B pour l'utilisation d'alertes cellulaires ou la FM avec le système RDS pour l'envoi de messages par le biais des postes radio. Ou encore le recours à des réseaux de radio amateur quand la fibre ne fonctionne plus.
Après son travail "Street view" sur la Nouvelle-Calédonie, Gaël Musquet annonce aussi à l'occasion du salon Diginova qu'il prévoit de revenir en Nouvelle-Calédonie en 2020, avec ses capteurs, pour mener lors d'une Pacific Wave le même type d'expérience qu'il a mené en Guadeloupe pour prouver aux Calédoniens qu'ils peuvent se préparer même au pire.
Météorologue, par conviction, Gaël Musquet a été sensibilisé très jeune aux problèmes des populations face aux désastres comme les ouragans ou séismes. Son postulat de départ qui est aussi un constat, c'est que les habitants touchés par ces événements peuvent être rapidement isolés en particulier les insulaires.
En tant que citoyen, il cherchait une façon de résoudre cette équation et c'est via la création de l'association HAND qu'il a amené des éléments de réponse.
Grâce à des opération comme Caribe Wave, l’exercice annuel sur les tsunamis de la Commission océanographique intergouvernementale (IOC) de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO). HAND a pu démontré qu'il est possible d'agir sans passer par l'Etat avec du matériel approprié qu'il détaille dans sa conférence.
Des eNode B pour l'utilisation d'alertes cellulaires ou la FM avec le système RDS pour l'envoi de messages par le biais des postes radio. Ou encore le recours à des réseaux de radio amateur quand la fibre ne fonctionne plus.
Après son travail "Street view" sur la Nouvelle-Calédonie, Gaël Musquet annonce aussi à l'occasion du salon Diginova qu'il prévoit de revenir en Nouvelle-Calédonie en 2020, avec ses capteurs, pour mener lors d'une Pacific Wave le même type d'expérience qu'il a mené en Guadeloupe pour prouver aux Calédoniens qu'ils peuvent se préparer même au pire.