Après une année 2016 difficile, marquée par un plan de licenciement et une baisse drastique de ses coûts, Koniambo Nickel SAS est aujourd’hui mieux positionnée et se dit confiante en l’avenir de l’usine. Objectif : augmenter sa production et relancer son four n°2.
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20 600 tonnes de nickel coulé, c’est l’objectif que s’est fixé KNS pour cette année 2017.
Avec un niveau de production de presque 15 000 tonnes l’an dernier, l’industriel veut améliorer ses performances.
Pour être rentable, il faudrait atteindre un coût de production de 4 dollars la livre.
Cet objectif pourrait être atteint avec le lancement de la 2ème ligne de production. Le feu vert a été donné par les actionnaires, après les efforts fournis l’an dernier, en matière de réduction des coûts notamment.
Le four n°2 est donc actuellement en cours de démantèlement et devrait être reconstruit courant juin, pour une première coulée prévue en décembre de cette année. Coût de l’investissement : plus de 63 millions CFP.
KNS vise d’abord une production de 40 000 tonnes en 2018. Pour anticiper cette montée en production, l’entreprise va recruter du personnel : une cinquantaine d’opérateurs miniers en 2017, le double en 2018.
Avec un niveau de production de presque 15 000 tonnes l’an dernier, l’industriel veut améliorer ses performances.
Pour être rentable, il faudrait atteindre un coût de production de 4 dollars la livre.
Ce qui permettrait à l’entreprise d’être plus compétitive, selon Marc Boissonneault, le PDG de KNS
KNS itw Boissonneault
Cet objectif pourrait être atteint avec le lancement de la 2ème ligne de production. Le feu vert a été donné par les actionnaires, après les efforts fournis l’an dernier, en matière de réduction des coûts notamment.
Le four n°2 est donc actuellement en cours de démantèlement et devrait être reconstruit courant juin, pour une première coulée prévue en décembre de cette année. Coût de l’investissement : plus de 63 millions CFP.
Alcide Ponga, le directeur des Affaires Externes chez KNS
KNS itw Ponga
KNS vise d’abord une production de 40 000 tonnes en 2018. Pour anticiper cette montée en production, l’entreprise va recruter du personnel : une cinquantaine d’opérateurs miniers en 2017, le double en 2018.