A Kaala-Gomen, la tribu de Tégon est au cœur d’un conflit foncier. Depuis un mois, un clan de la région revendique pacifiquement l’acquisition d’un lopin de terre. Les discussions avec le propriétaire entamées le 17 février dernier ont achoppé.
•
Utiliser la « non » violence et le dialogue pour revendiquer des terres, c’est la démarche choisie par le clan Cho à Kaala-Gomen.
Depuis près d' un mois, une dizaine de personnes mobilisées, se sont installés sur un terrain d’une vingtaine d’hectares, au sein de la tribu de Tégon, appartenant à Guy de Saint-Quentin; un ancien éleveur parti de la région depuis les Evènements.
Roger Cho, membre du clan et coordinateur du Congrès Populaire Kanak, mène depuis le début cette revendication .
Depuis la semaine dernière, c’est le statut quo avec le propriétaire des lieux. Les discussions, selon le collectif, avaient pourtant démarré sous de bons auspices. Mais cette affaire laisse aussi apparaître des dissensions entre un clan et l’autorité coutumière.
Depuis près d' un mois, une dizaine de personnes mobilisées, se sont installés sur un terrain d’une vingtaine d’hectares, au sein de la tribu de Tégon, appartenant à Guy de Saint-Quentin; un ancien éleveur parti de la région depuis les Evènements.
Roger Cho, membre du clan et coordinateur du Congrès Populaire Kanak, mène depuis le début cette revendication .
Depuis la semaine dernière, c’est le statut quo avec le propriétaire des lieux. Les discussions, selon le collectif, avaient pourtant démarré sous de bons auspices. Mais cette affaire laisse aussi apparaître des dissensions entre un clan et l’autorité coutumière.
Ecouter le reportage de Cédric Wakahugnème
Revendication à Kaala-Gomen
/outremer/2023/06/02/64793038f0e2f_tribunal-2.jpg)
/outremer/2023/04/14/6438b34d50798_image-50400513.jpg)
/outremer/2024/11/27/desk-eveil-oceanien-frame-1585-67469eae7983e199840857.jpg)
