A Pouébo et à Poindimié, des femmes se sont lancées depis quelques années dans les plantations de ces arbres pour les activités culturelles. Elles sont confortées dans leurs actions par la volonté de remettre la natte traditionnelle dans les gestes coutumiers.
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A Ballade dans la région de Pouébo, Marie Ange Théimbouéone, cultive le pandanus depuis les années 90. Elle a été initiée par ses mamans et grands-mères durant son plus jeune âge. Et c’est tout naturellement qu’elle a décidé de planter plusieurs arbres son sur terrain. Aujourd’hui, elle continue de le faire, aidée de son mari.
Sa fille Scholastique Boiguivi s’est aussi lancée dans la culture de pandanus, pour ses besoins et pour les travaux coutumiers de son clan. L’idée d’en planter est née en elle durant la période des EPK, écoles populaires kanak de 1986 à 1993, qui proposaient des activités de tressage. Mais c’est des années plus tard qu’elle a mis en terre des plants, dont quelques variétés.
A Poindimié aussi, le pandanus est cultivé. L’association des femmes Comaco de Tieti a commencé la plantation au début des années 2000. Les arbres poussent en bord de plage. Les feuilles de pandanus sont surtout utiles pour les danses traditionnelles et la vannerie.
Sa fille Scholastique Boiguivi s’est aussi lancée dans la culture de pandanus, pour ses besoins et pour les travaux coutumiers de son clan. L’idée d’en planter est née en elle durant la période des EPK, écoles populaires kanak de 1986 à 1993, qui proposaient des activités de tressage. Mais c’est des années plus tard qu’elle a mis en terre des plants, dont quelques variétés.
A Poindimié aussi, le pandanus est cultivé. L’association des femmes Comaco de Tieti a commencé la plantation au début des années 2000. Les arbres poussent en bord de plage. Les feuilles de pandanus sont surtout utiles pour les danses traditionnelles et la vannerie.