Ils étaient 360 coureurs à répondre présents, ce samedi, à la première épreuve du Grand prix des raids du Nord, dans la vallée du Diahot. La commune de Ouégoa n’avait plus accueilli l’épreuve depuis de nombreuses années.
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Personne n’a été oublié dans la commune du Grand Nord. A la carte de cette première épreuve du Grand prix de la province Nord, trois courses : 18 km pour les confirmés, 10,4 km pour le mini-raid et 4 km de marche autour du camping.
En début de course, les participants ont pu faire le plein de fraîcheur au bord du Diahot, pendant deux kilomètres, avant de virer à l’est et les collines fauves de la rive droite, où les attendait le premier ravitaillement. « C’est magnifique avec la lumière », sourit une coureuse, depuis un point de vue à couper de souffle sur la région.
Si la course semblait fluide, elle réservait aussi des moments difficiles avec ce tracé émaillé de descentes et de raidillons, qui sape autant le moral qu’il enchante l’âme du visiteur. « Ça vaut le coût pour la découverte de la nature. On n’a pas l’occasion de voir ce paysage là partout », observe Florie Pedeux, une engagée du Grand raid.
Pour cette première épreuve, Oswald Cochereau, Ludovic Lanceleur et Alexy Dianoux se hissent sur le podium masculin du championnat. Chez les dames, c’est Marie-Cécile Cavell qui arrive en tête, suivie de Jessy Lohyer et Suzanne Bonnet.
Les résultats complets du Grand raid sont à retrouver ici.
Prochain rendez-vous du Grand prix des raids du Nord samedi 22 août, à Ponérihouen.
Revivez le Grand raid de Ouégoa avec le reportage de Gilbert Assawa et Camille Mosnier
En début de course, les participants ont pu faire le plein de fraîcheur au bord du Diahot, pendant deux kilomètres, avant de virer à l’est et les collines fauves de la rive droite, où les attendait le premier ravitaillement. « C’est magnifique avec la lumière », sourit une coureuse, depuis un point de vue à couper de souffle sur la région.
Un public au rendez-vous
Les organisateurs, eux, ne s’attendaient pas à avoir autant de monde, juste après la fin des mesures de confinement et en cette fin de vacances. « On est content que les gens se soient déplacés, qu’ils viennent nous voir sur Ouégoa », se réjouit Richard Martin, du comité organisateur.Si la course semblait fluide, elle réservait aussi des moments difficiles avec ce tracé émaillé de descentes et de raidillons, qui sape autant le moral qu’il enchante l’âme du visiteur. « Ça vaut le coût pour la découverte de la nature. On n’a pas l’occasion de voir ce paysage là partout », observe Florie Pedeux, une engagée du Grand raid.
Retour aux sources
Voilà de longues années que Ouégoa n’avait plus accueilli de raid. Et pourtant, c’est ici que s’est déroulé, il y a vingt-sept ans, la troisième épreuve initiée en Nouvelle-Calédonie, après le Raid Gauloise. « Pour nous, le Raid, ça a été une rampe de lancement. C’est avec beaucoup de nostalgie que je refais ce raid à Ouégoa », confie Richard Song, membre de l’organisation, qui espère que d’autres éditions suivront.Pour cette première épreuve, Oswald Cochereau, Ludovic Lanceleur et Alexy Dianoux se hissent sur le podium masculin du championnat. Chez les dames, c’est Marie-Cécile Cavell qui arrive en tête, suivie de Jessy Lohyer et Suzanne Bonnet.
Les résultats complets du Grand raid sont à retrouver ici.
Prochain rendez-vous du Grand prix des raids du Nord samedi 22 août, à Ponérihouen.
Revivez le Grand raid de Ouégoa avec le reportage de Gilbert Assawa et Camille Mosnier