L'eau du robinet n'est plus potable à l’ile des Pins. C’est ce que dénonce depuis le mois dernier l’association Ensemble pour la Planète alertée par des habitants. Sur place, certains s'inquiètent et réclament des mesures d'urgence auprès de la Mairie.
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D’après des analyses opérées par EPLP, la teneur en nickel serait jusqu’à 31 fois supérieure à la norme de l’Organisation Mondiale de la Santé.
La semaine dernière, deux établissements hôteliers ont fait analyser l’eau du robinet. Les taux de nickel oscillent entre 42 et 57 microgrammes par litre, soit plus de deux fois la norme autorisée par l’OMS.
Ensemble pour la Planète en appelle à la responsabilité des autorités à commencer par celle du maire de l’ile des pins.
Contacté par téléphone, le maire se dit plus préoccupé par les problèmes de quantité que de qualité et attend les résultats des analyses réalisées la semaine dernière par les services gouvernementaux pour prendre des mesures.
Selon EPLP, quantité et qualité sont les deux faces d’un même problème qu’il est urgent de traiter.
Le Centre International de Recherche sur le Cancer a classé le nickel et ses composés dans le groupe « cancérigène pour l’homme » ; c’est dire s’il y a urgence à faire toute la transparence sur l’eau courante de l’Ile des Pins.
La semaine dernière, deux établissements hôteliers ont fait analyser l’eau du robinet. Les taux de nickel oscillent entre 42 et 57 microgrammes par litre, soit plus de deux fois la norme autorisée par l’OMS.
Ensemble pour la Planète en appelle à la responsabilité des autorités à commencer par celle du maire de l’ile des pins.
Contacté par téléphone, le maire se dit plus préoccupé par les problèmes de quantité que de qualité et attend les résultats des analyses réalisées la semaine dernière par les services gouvernementaux pour prendre des mesures.
Selon EPLP, quantité et qualité sont les deux faces d’un même problème qu’il est urgent de traiter.
Le Centre International de Recherche sur le Cancer a classé le nickel et ses composés dans le groupe « cancérigène pour l’homme » ; c’est dire s’il y a urgence à faire toute la transparence sur l’eau courante de l’Ile des Pins.
Le reportage de Caroline Antic-Martin et Béatrice Tardy