Fête de l'école calédonienne : une belle leçon de citoyenneté

L’école de la Nouvelle-Calédonie à la fête ! Toute la journée, une cinquantaine d'établissements représentés par plus de 1800 élèves investissent à Nouméa le centre culturel Tjibaou pour y présenter des projets de toutes sortes qui ont un point commun : la dimension citoyenne.
La foule et une belle émulation, ce matin, dans les allées du centre culturel Tjibaou. Des enfants, des adolescents et de jeunes adultes vont et viennent en arborant les couleurs de leur établissement respectif. Une cinquantaine d’établissements en tout, du primaire au post-bac, et de chacune des trois provinces. Avec la présence exceptionnelle de tout jeunes élèves : des écoliers en sections des petits, des moyens et des grands à la maternelle Les Dauphins du Vallon-Dore.
 
Chant en nengone par la maternelle Les Dauphins.
 

Faire pousser un mur végétal 

Tout ce monde participe à la seconde Fête de l’école calédonienne, pour présenter au grand public leur projet qui va dans le sens de la citoyenneté. Des collégiens de Boulari élaborent un mur végétal. Leurs camarades de Louis-Leopold-Djiet sont descendus de Bourail pour présenter des plantes médicinales. Des collégiens de La Foa montrent leurs clips musicaux et d'autres, de Dumbéa-sur-mer, interpellent les visiteurs sur les fake news.
 
La stand mur végétal du collège de Boulari.
 

Parcours civique

Au niveau d'après, les élèves du lycée du Mont-Dore présentent leur webradio Hey hey. Ceux de Williama-Haudra ont misé sur la coiffure. Et ainsi de suite : plus de 1800 élèves étaient attendus pour faire connaître leur travail dans le cadre du parcours civique calédonien, allant de l’éducation morale et civique au développement durable, en passant par la santé ou encore les médias. 

Ecoutez le micro-trottoir de Marguerite Poigoune :

Micro-trottoir à la Fête de l'école calédonienne

 

Très animé

Egalement au programme, chargé, de cette journée, des chants, des danses… et la pluie qui s’est quelque peu invitée. 

Le reportage télé de Natacha Cognard et Michel Bouilliez : 
©nouvellecaledonie