Alors que l’enquête se poursuit dans l’incendie de trois catamarans à Port-Moselle, la Sodemo et la société Dream Yatch charter, réfléchissent à l’extraction des embarcations. Une enquête doit déterminer la bonne démarche pour éviter les impacts sur l’environnement marin.
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C’est une opération minutieuse de l’exploitant, Dream Yatch Charter, menée avec l’appui de la Sodemo, la société en charge de l’exploitation du port.
Selon le descriptif de la Sodemo, des plongeurs doivent, dans un premier temps, scruter les épaves, établir avec précision l’état des bateaux et surtout les dégâts causés sur l’environnement marin.
Cette opération est totalement à la charge de l’exploitant des trois catamarans. La Sodemo apportera son aide : un appui humain et technique pendant la phase opérationnelle. Les discussions ont débuté ce lundi matin avec l’exploitant des navires. L’expertise pourrait débuter à compter de mardi.
Quels dégâts sur l’environnement ?
Le temps est compté, il faut faire vite et l’objectif premier est de lancer une expertise précise qui doit définir la manœuvre d’extraction des trois navires, dont deux ont sombré devant l’espace dédié aux poissons du marché municipal de Port-Moselle.Selon le descriptif de la Sodemo, des plongeurs doivent, dans un premier temps, scruter les épaves, établir avec précision l’état des bateaux et surtout les dégâts causés sur l’environnement marin.
Quels moyens ?
Puis viendra en seconde étape, l’enlèvement des navires. Comment s’y prendre ? Quels moyens mobiliser ? L’expertise devra imaginer l’ensemble des scenarii possibles.Cette opération est totalement à la charge de l’exploitant des trois catamarans. La Sodemo apportera son aide : un appui humain et technique pendant la phase opérationnelle. Les discussions ont débuté ce lundi matin avec l’exploitant des navires. L’expertise pourrait débuter à compter de mardi.