Le bourdonnement des abeilles, Angélique s’y est habitué… A la suite d’un violent cyclone, un essaim a trouvé refuge dans le spa pool de sa résidence de Dumbéa.
Ce samedi, elle glane des conseils au stand Apiculture de l’Adecal-Technopole. Même si son but premier n’est pas de récolter le précieux nectar : « Elles vivent leur vie, elles sont bien, on leur a acheté une ruche. On ne l’appelle pas la ruche d’ailleurs, parce qu’on ne veut pas leur prendre leur miel. On leur laisse de quoi manger surtout pendant la saison fraîche où il y n’a pas trop de fleurs…. Ce qui fait qu’on l’appelle l’auberge, raconte Angélique. On leur donne à manger en plantant des fleurs, et on les remercie déjà de polliniser le jardin ! »
On ne veut pas leur prendre leur miel. Ce qui fait qu’on ne l’appelle pas la ruche mais l’auberge!
Samuel, lui, est venu en famille. Depuis qu’il est tombé sur une émission à la télévision, le petit garçon ne pense qu’à une chose : devenir apiculteur. Pourquoi ? « Pour avoir du miel souvent ! », explique-t-il.
Une activité autorisée
De plus en plus de particuliers installent des ruches dans leur jardin. Une pratique autorisée même en ville, à condition de respecter certaines règles, notamment de distance avec le voisinage.
Un conseil pour le bien-être de vos abeilles. Choisissez un environnement calme, ensoleillé et dégagé à l’entrée de la ruche. Elles se déplaceront plus librement et sans vous déranger.
Coralie Cochin a rencontré les apiculteurs urbains