Bien décidée à gagner la course aux municipales, la maire sortante de Nouméa a rencontré lundi soir les habitants de Rivière Salée, qui l’ont interpellée notamment sur les questions de sécurité.
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Fidèles et sympathisants… Ils étaient une cinquantaine, ce lundi soir, à Rivière-Salée pour suivre le meeting de Sonia Lagarde, qui tire la liste « Avec vous, pour Nouméa ». Chacun y est allé de ses doléances, l’occasion de se faire entendre en période de campagne. « J’espère qu’il y aura beaucoup d’améliorations au niveau de la sécurité parce que Rivière-Salée, c’est un quartier un peu chaud », espère une habitante qui vit là depuis quarante ans, tout en reconnaissant que ce problème n’est pas uniquement lié à son quartier.
Déterminée à conserver son fauteuil de premier magistrat de la ville, Sonia Lagarde veut faire de la tranquillité de la commune une priorité de sa campagne. « La sécurité, c'est l’affaire de tous » et notamment celle « des parents », dit-elle en s’étonnant de voir « dans la rue (..) des mineurs de 12, 13 ans ».
Si elle se défend de stigmatiser les jeunes, elle rappelle qu’« un mineur sur quatre est pris en flagrant délit », ce qui amène, selon Sonia Lagarde, à « s’interroger sur cette jeunesse ».
Responsabiliser les parents
Sécurité donc, mais aussi environnement, culture ou habitat… Des thèmes évoqués par Sonia Lagarde, qui souhaite construire des logements plus adaptés à une qualité de vie et veut rassembler toutes les communautés. « J’avais dit qu’il faudrait faire une belle entrée à Rivière-Salée, c’est fait », estime la maire sortante en guise de bilan.Déterminée à conserver son fauteuil de premier magistrat de la ville, Sonia Lagarde veut faire de la tranquillité de la commune une priorité de sa campagne. « La sécurité, c'est l’affaire de tous » et notamment celle « des parents », dit-elle en s’étonnant de voir « dans la rue (..) des mineurs de 12, 13 ans ».
Si elle se défend de stigmatiser les jeunes, elle rappelle qu’« un mineur sur quatre est pris en flagrant délit », ce qui amène, selon Sonia Lagarde, à « s’interroger sur cette jeunesse ».