Armés de leurs carnets, crayons et pinceaux, ils dessinent en quelques minutes des scènes de vie ou des jardins qui se présentent sous leurs yeux. Ce dimanche, ces dessinateurs pressés admiraient les voitures de collection.
A Nouméa, le rond point de l'Eau vive accueillait ce dimanche comme chaque mois le rendez-vous des vieilles voitures. Les passionnés de belles carrosseries étaient là, mais aussi une dizaine de personnes confortablement installées au milieu de la foule, des petits carnets à la main. Il s’agit de membres du Nouméa sketcher croquis club, des dessinateurs amateurs qui se retrouvent eux aussi chaque mois.
Quelques minutes pour croquer sur papier ce qui se trouve juste devant les yeux : c’est la règle que s’est fixée cette communauté locale de dessinateurs que l’on appelle à travers le monde les « urban sketchers », ou croqueurs urbains. Leur palette d’outils varie entre pinceaux, crayons et feutres, dans l’aide de capturer l’instant présent.
Pour conserver ces esquisses à main levée, nul besoin de toile ou de chevalet, un carnet de croquis suffit à ces dessinateurs itinérants.
Les membres du club se retrouvent une fois par mois sur un événement de la capitale, la SLN le mois dernier, les voitures ce dimanche. Ce sera ensuite l’île aux Canards, le marché alternatif de Païta ou encore Bourail.
Au programme détente, liberté, et croquis.
Le reportage de Lizzie Carboni et Laura Schintu.
Quelques minutes pour croquer sur papier ce qui se trouve juste devant les yeux : c’est la règle que s’est fixée cette communauté locale de dessinateurs que l’on appelle à travers le monde les « urban sketchers », ou croqueurs urbains. Leur palette d’outils varie entre pinceaux, crayons et feutres, dans l’aide de capturer l’instant présent.
Pour conserver ces esquisses à main levée, nul besoin de toile ou de chevalet, un carnet de croquis suffit à ces dessinateurs itinérants.
Les membres du club se retrouvent une fois par mois sur un événement de la capitale, la SLN le mois dernier, les voitures ce dimanche. Ce sera ensuite l’île aux Canards, le marché alternatif de Païta ou encore Bourail.
Au programme détente, liberté, et croquis.
Le reportage de Lizzie Carboni et Laura Schintu.