Le parc de Sainte-Marie, nouvelle scène culturelle

Johan Cazalas, batteur et professeur au conservatoire de musique
Quoi de mieux que la musique comme remède au blues du dimanche soir ? Avec le tout nouveau rendez-vous baptisé « Live au parc », des concerts et de la danse sont proposés trois dimanche par mois, à 16 h, à Sainte-Marie. 
 
Entre les familles venues se promener le long des baies et les fans de jazz : la toute première édition de Live au parc a attiré près de 300 personnes, dimanche. 
Il faut dire que l’affiche du jour était alléchante : un trio de jeunes jazzmen au son très moderne, qui a métamorphosé le parc en club de jazz à ciel ouvert. Un cadre « magique » pour Yann Delaunay, le pianiste du groupe.

ITW Yann Delaunay

Yann Delaunay, le pianiste du groupe.

Un format familial 

Standards du jazz, reprises de Radiohead ou des Beatles mais aussi compositions personnelles : le répertoire du jeune trio a charmé le public. Certains spectateurs se réjouissent de pouvoir venir « en famille », d’autres saluent « cette initiative » qui permet d'assister à des concerts gratuits en plein air. 
Ecoutez les réactions du public : 

Réactions public

Trois rendez-vous par mois

Au bout d’une heure de douceur, le concert s'est conclu sous les applaudissements du public, qui est resté jusqu’au bout, malgré les quelques gouttes tombées à la fin du concert. 
Nouveau créneau de l’agenda culturel, testé et approuvé pendant la Fête de la musique avec la fanfare Malawi et le conservatoire de musique, « Live au Parc » donne rendez-vous au public sur les pelouses de Sainte-Marie trois dimanches par mois, de 16 h à 17 h avec :
  • le 2e dimanche du mois : un concert gratuit proposé par la ville  
  • le 3e dimanche : de la danse tango avec l’association Abrazo Tango
  • le dernier dimanche : une démonstration et une initiation au swing ou au lindy-hop avec l’association Swing and smile. 
Le public est donc attendu dimanche 19 juillet pour une démonstration de tango sur le deck du parc urbain de Sainte-Marie. 

Le reportage de Loreleï Aubry et Cédric Michaut 
©NCAL