A l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, la ville de Nouméa conviait ce mercredi les 3-14 au parc Brunelet. L’occasion d’informer les enfants mais de façon ludique.
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Pour cette Journée internationale des droits de l’enfant, ateliers, stands et animations étaient proposés aux jeunes Nouméens de 3 à 14 ans au parc Brunelet. Droits à la protection, à la sécurité, à l’éducation ou encore aux soins, une dizaine d’associations et des services municipaux ont répondu présents.
C’est à l’aide de petits cartons et de questions, que les membres de la ligue des droits de l’Homme de Nouvelle-Calédonie ont informé les plus jeunes sur leurs droits. Entre autres, celui d’être protégé, éduqué, soigné, de s’amuser et de s’exprimer. Au total, ce sont dix droits fondamentaux qui composent la convention internationale des droits de l’enfant de l’ONU de 1989, ratifiée par 191 pays.
Objectif de l’atelier : informer tout en s’amusant, pari gagné pour Henriette : « J’ai appris que je peux choisir mon nom, que je pouvais avoir ma vie privée », raconte la petite fille.
Si les enfants ont des droits, les parents ont donc des devoirs : celui de protéger leurs enfants. Un message porté par l’association Jeunesse Mont-Dore Multimédia, qui a souhaité alerter sur les risques du numérique et des réseaux sociaux. Nicolas Kaya, fondateur de l’association : « Le numérique permet d’assurer un droit à l’apprentissage », un droit aux loisirs, note Nicolas Kaya, fondateur de l’association. Mais poursuit-il, « il y a des questions aussi qui se posent sur Internet. La protection doit passer principalement par les personnes qui permettent l’accès à l’ordinateur donc en première ligne les parents dans le milieu familial. Il y a des logiciels qui permettent de faire du contrôle parental mais si il n’y a personne pour l’installer, si les parents eux-même ne sont pas dans le numérique ou ne prennent pas le temps de mettre en place les bonnes règles, hé bien en fait ça ne fonctionnera pas. »
Une initiative qui aura permis d’allier prévention et divertissement, pour soutenir la cause des enfants.
Selon la direction provinciale de l’action sanitaire et sociale de la province Sud, en 2019, 1 727 signalements d’enfants en danger ont été traités. Le nombre d’enfants placés par mois était en 2019 de 175, il serait en hausse pour l’année 2020.
C’est à l’aide de petits cartons et de questions, que les membres de la ligue des droits de l’Homme de Nouvelle-Calédonie ont informé les plus jeunes sur leurs droits. Entre autres, celui d’être protégé, éduqué, soigné, de s’amuser et de s’exprimer. Au total, ce sont dix droits fondamentaux qui composent la convention internationale des droits de l’enfant de l’ONU de 1989, ratifiée par 191 pays.
J’ai appris que je peux choisir mon nom, que je pouvais avoir ma vie privée.
Objectif de l’atelier : informer tout en s’amusant, pari gagné pour Henriette : « J’ai appris que je peux choisir mon nom, que je pouvais avoir ma vie privée », raconte la petite fille.
Vigilance des parents, notamment sur Internet
Si les enfants ont des droits, les parents ont donc des devoirs : celui de protéger leurs enfants. Un message porté par l’association Jeunesse Mont-Dore Multimédia, qui a souhaité alerter sur les risques du numérique et des réseaux sociaux. Nicolas Kaya, fondateur de l’association : « Le numérique permet d’assurer un droit à l’apprentissage », un droit aux loisirs, note Nicolas Kaya, fondateur de l’association. Mais poursuit-il, « il y a des questions aussi qui se posent sur Internet. La protection doit passer principalement par les personnes qui permettent l’accès à l’ordinateur donc en première ligne les parents dans le milieu familial. Il y a des logiciels qui permettent de faire du contrôle parental mais si il n’y a personne pour l’installer, si les parents eux-même ne sont pas dans le numérique ou ne prennent pas le temps de mettre en place les bonnes règles, hé bien en fait ça ne fonctionnera pas. » Une initiative qui aura permis d’allier prévention et divertissement, pour soutenir la cause des enfants.
Selon la direction provinciale de l’action sanitaire et sociale de la province Sud, en 2019, 1 727 signalements d’enfants en danger ont été traités. Le nombre d’enfants placés par mois était en 2019 de 175, il serait en hausse pour l’année 2020.