Une convention a été signée ce jeudi à l’hôtel de province Sud entre Sonia Backès, la présidente de la collectivité, Yasmina Metzdorf, la maire de Poya, et Jean-Gabriel Faget, directeur général Enercal.
•
Objectif de cette convention : payer une étude pour s’assurer du coût et de la possibilité d’installer sur 10 km un réseau électrique filaire sur des propriétés privées à Poya Sud. Une étude financée entièrement par la province Sud, à hauteur de 5,3 millions de francs CFP.
Cette étude est destinée à soutenir l’activité aquacole sur la commune, soit deux fermes : Aquawa et Kapuidea gérées par Philippe Boursier.
Ces deux fermes fonctionnent actuellement au gasoil avec des groupes électrogènes « vieillissants » décrit Yasmina Metzdorf, maire de Poya. "Les coûts du gasoil et celui du matériel à renouveler sont trop élevés pour l’entrepreneur », assure la maire, « la consommation de 250 000 l/an en gasoil serait économisée avec une installation filaire, soit une économie de 20 millions/ an ».
« Ça relance la perspective d’électrifier des fermes aquacoles qui sont en bord de mer de la commune de Poya, dans sa partie Sud, qui sont relativement éloignées de la RT1 et des réseaux déjà existants, et de bénéficier d’une électricité de qualité et à moindre coût par rapport aux moyens dont les exploitants disposent actuellement à savoir des groupes électrogènes » explique Jean-gabriel Faget, le directeur général d’Enercal. « Il s’avère que les solutions par panneaux photovoltaïques, donc énergie renouvelable, ont déjà été étudiés pour ces fermes, et elles se révèlent beaucoup plus onéreuses que des solutions conventionnelles ».
Cette étude est destinée à soutenir l’activité aquacole sur la commune, soit deux fermes : Aquawa et Kapuidea gérées par Philippe Boursier.
Ces deux fermes fonctionnent actuellement au gasoil avec des groupes électrogènes « vieillissants » décrit Yasmina Metzdorf, maire de Poya. "Les coûts du gasoil et celui du matériel à renouveler sont trop élevés pour l’entrepreneur », assure la maire, « la consommation de 250 000 l/an en gasoil serait économisée avec une installation filaire, soit une économie de 20 millions/ an ».
Moins cher que le photovoltaïque
Du côté d’Enercal, on explique le choix du filaire, plutôt que du photovoltaïque« Ça relance la perspective d’électrifier des fermes aquacoles qui sont en bord de mer de la commune de Poya, dans sa partie Sud, qui sont relativement éloignées de la RT1 et des réseaux déjà existants, et de bénéficier d’une électricité de qualité et à moindre coût par rapport aux moyens dont les exploitants disposent actuellement à savoir des groupes électrogènes » explique Jean-gabriel Faget, le directeur général d’Enercal. « Il s’avère que les solutions par panneaux photovoltaïques, donc énergie renouvelable, ont déjà été étudiés pour ces fermes, et elles se révèlent beaucoup plus onéreuses que des solutions conventionnelles ».