Réunis en assemblée, ce vendredi, les élus de la province Sud vont examiner le projet d'un nouveau règlement intérieur à instaurer dans les 99 établissements du primaire de la province.
Objectif : réaffirmer clairement les règles à respecter et les sanctions à appliquer.
Objectif : réaffirmer clairement les règles à respecter et les sanctions à appliquer.
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Les actes d’incivilité, voire parfois de violence, augmentent de manière inquiétante depuis quelques années dans les établissements scolaires, y compris dans l’enseignement primaire.
C’est ce qui a poussé la Province Sud à réaffirmer à travers ce règlement intérieur, des règles claires et précises.
Philippe Michel, le président de la Province Sud.
Pas question en effet de faire recopier 100 fois la même phrase, encore moins d’infliger des châtiments corporels ou d’humilier un élève.
La sanction doit faire prendre conscience à l’élève de ce qu’il a fait et que cela peut mériter réparation.
Elle peut aller de la demande d’excuses à la convocation des parents en passant par le travail d’intérêt général ou la privation de récréation.
Dans des cas exceptionnels, l’élève peut être, sur décision du président de la Province Sud, changé d’école.
Le président qui sera également saisi des cas les plus graves.
Avec ces nouvelles règles bien établies, la province espère rétablir un climat de sérénité indispensable dans les écoles.A noter une nouveauté par rapport au précédent règlement : il est précisément spécifié que l’usage des téléphones portables ou autres tablettes durant le temps scolaire est formellement interdit.
C’est ce qui a poussé la Province Sud à réaffirmer à travers ce règlement intérieur, des règles claires et précises.
Philippe Michel, le président de la Province Sud.
Du côté des punitions
Il existe désormais tout un panel d’actions, graduées, et à vocation éducative.Pas question en effet de faire recopier 100 fois la même phrase, encore moins d’infliger des châtiments corporels ou d’humilier un élève.
La sanction doit faire prendre conscience à l’élève de ce qu’il a fait et que cela peut mériter réparation.
Elle peut aller de la demande d’excuses à la convocation des parents en passant par le travail d’intérêt général ou la privation de récréation.
Dans des cas exceptionnels, l’élève peut être, sur décision du président de la Province Sud, changé d’école.
Le président qui sera également saisi des cas les plus graves.
Avec ces nouvelles règles bien établies, la province espère rétablir un climat de sérénité indispensable dans les écoles.A noter une nouveauté par rapport au précédent règlement : il est précisément spécifié que l’usage des téléphones portables ou autres tablettes durant le temps scolaire est formellement interdit.