2 ème conseil politique des Républicains Calédoniens ce mercredi soir à l’Université de la Nouvelle-Calédonie. A l’ordre du jour, la mobilisation des Calédoniens pour un "Non" massif lors de la consultation. Le parti a également évoqué son projet de société au lendemain du référendum.
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L'amphi 400 de l’Université de la Nouvelle-Calédonie était plein à craquer ce mercredi soir pour le 2ème conseil politique des Républicains Calédoniens. Les ténors du parti étaient présents, mais les organisateurs avaient aussi voulu inviter des personnalités de la société civile, des représentants des associations de femmes, des chefs d’entreprise, et la jeunesse.
Leitmotiv de ce rendez-vous : assumer les résultats du référendum du 4 novembre, ne plus avoir honte du vote.
Autre point évoqué, le projet de société que portent les Républicains Calédoniens sur l’après-référendum. Dans le collimateur du parti, le nationalisme, « ceux qui ont généré le désordre ». Face à ces adversaires, le parti leur oppose l’ordre, la justice sociale ou encore l’ouverture sur le monde.
Sonia Backès, la présidente des Républicains Calédoniens, au micro de Dave Wahéo-Hnasson et Michel Bouilliez.
Grand absent de ce conseil politique, Harold Martin en déplacement. Le maire de Païta avait affirmé ce mercredi sur une radio locale que le parti parti n’avait aucune ligne historique. Une affirmation balayée par Sonia Backès qui n’a pas voulu s’appesantir sur les propos d’Harold Martin.
Pour la patronne des Républicains Calédoniens, la priorité du parti, est bien de faire campagne pour que le Non l’emporte massivement le 4 novembre prochain.
Leitmotiv de ce rendez-vous : assumer les résultats du référendum du 4 novembre, ne plus avoir honte du vote.
Se mobiliser pour une large victoire
Le parti appelle ses sympathisants à se mobiliser. « Il faut que la victoire du non soit la plus large possible car on ne construit rien sur l’ambiguïté ». Le parti qui se dit prêt, sur la bases des résultats du référendum, à discuter avec les indépendantistes.Autre point évoqué, le projet de société que portent les Républicains Calédoniens sur l’après-référendum. Dans le collimateur du parti, le nationalisme, « ceux qui ont généré le désordre ». Face à ces adversaires, le parti leur oppose l’ordre, la justice sociale ou encore l’ouverture sur le monde.
Pas de « copié-collé »
Concernant cette ouverture sur le monde, le mouvement affirme « qu’il faut cesser de faire du copié-collé avec la Métropole » mais bien au contraire qu’il faut s’inspirer des pays anglo-saxons en matière de sécurité ou d’économie par exemple.Sonia Backès, la présidente des Républicains Calédoniens, au micro de Dave Wahéo-Hnasson et Michel Bouilliez.
Grand absent de ce conseil politique, Harold Martin en déplacement. Le maire de Païta avait affirmé ce mercredi sur une radio locale que le parti parti n’avait aucune ligne historique. Une affirmation balayée par Sonia Backès qui n’a pas voulu s’appesantir sur les propos d’Harold Martin.
Pour la patronne des Républicains Calédoniens, la priorité du parti, est bien de faire campagne pour que le Non l’emporte massivement le 4 novembre prochain.