Sur les dix étudiants qui ont suivi le cursus en mathématique-physique ou physique-chimie, tous ont été acceptés au sein d’écoles prestigieuses en Métropole.
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Pour suivre le Cycle Universitaire Préparatoire aux Grandes Écoles (CUPGE), mieux vaut être un adepte des filières scientifiques, armé de volonté et de persévérance. Alternative aux traditionnelles prépas des lycées, ce cursus spécialisé, qui se réalise en deux ans, offre une formation encore méconnue mais en plein essor.
Cette année, ils étaient cinq élèves en licence 3 de mathématiques et physique à préparer les concours des plus prestigieuses écoles de Métropole. Chacun dans leur spécialité, aéronautique, professorat ou environnement, les étudiants ont suivi le même cursus mais avec des objectifs distincts. Pour Téva Neyrat, admis en école d’ingénieur à Grenoble, l'expérience a été enrichissante. "On a énormément de cours donc les préparations se faisaient le midi. Souvent, c'était un oral d'une heure qu'on faisait avec un prof donc on passait généralement à deux. Le prof nous donnait un exercice à faire et en fonction de ce que tu présentais, c'était soit une préparation soit un passage au tableau pour expliquer ses idées "en live" sur la manière dont on allait résoudre l'exercice."
Le jeu en valait également la chandelle pour Yann Delaunay qui a obtenu la quatrième place au concours de l’école de contrôleur aérien Telecom Paris, son choix de cœur. Selon lui, cette formule universitaire a de nombreux avantages. "On a vraiment la liberté de l'université qui nous permet d'avoir cette flexibilité d'organiser son temps de travail et aussi de se développer personnellement et voir ce qui nous intéresse."
Cette formation spécialisée est encadrée par trois professeurs à temps plein et des enseignants de licences scientifiques. Parmi eux, Bianca Travain, responsable pédagogique du cycle universitaire préparatoire aux grandes écoles. "Ça reste l'université, on recrute des étudiants qui sont autonomes et qui peuvent profiter de la liberté de l'université même s'ils bénéficient également d'un encadrement un peu plus soutenu qui leur permet de préparer les oraux des concours qu'ils vont passer. Ce ne serait pas le cas s'ils étaient en licence."
Une première promotion aux résultats très positifs puisque les dix élèves qui ont entamé la formation dès la première année ont été admis au sein de grandes écoles. Dans les prochaines années, un troisième parcours consacré aux sciences de la vie et de la terre devrait être ajouté à ce cycle universitaire très spécifique.
Armés pour passer le cap d'une épreuve écrite ou orale
Cette année, ils étaient cinq élèves en licence 3 de mathématiques et physique à préparer les concours des plus prestigieuses écoles de Métropole. Chacun dans leur spécialité, aéronautique, professorat ou environnement, les étudiants ont suivi le même cursus mais avec des objectifs distincts. Pour Téva Neyrat, admis en école d’ingénieur à Grenoble, l'expérience a été enrichissante. "On a énormément de cours donc les préparations se faisaient le midi. Souvent, c'était un oral d'une heure qu'on faisait avec un prof donc on passait généralement à deux. Le prof nous donnait un exercice à faire et en fonction de ce que tu présentais, c'était soit une préparation soit un passage au tableau pour expliquer ses idées "en live" sur la manière dont on allait résoudre l'exercice."
Le jeu en valait également la chandelle pour Yann Delaunay qui a obtenu la quatrième place au concours de l’école de contrôleur aérien Telecom Paris, son choix de cœur. Selon lui, cette formule universitaire a de nombreux avantages. "On a vraiment la liberté de l'université qui nous permet d'avoir cette flexibilité d'organiser son temps de travail et aussi de se développer personnellement et voir ce qui nous intéresse."
Libres mais encadrés
Cette formation spécialisée est encadrée par trois professeurs à temps plein et des enseignants de licences scientifiques. Parmi eux, Bianca Travain, responsable pédagogique du cycle universitaire préparatoire aux grandes écoles. "Ça reste l'université, on recrute des étudiants qui sont autonomes et qui peuvent profiter de la liberté de l'université même s'ils bénéficient également d'un encadrement un peu plus soutenu qui leur permet de préparer les oraux des concours qu'ils vont passer. Ce ne serait pas le cas s'ils étaient en licence."
Une première promotion aux résultats très positifs puisque les dix élèves qui ont entamé la formation dès la première année ont été admis au sein de grandes écoles. Dans les prochaines années, un troisième parcours consacré aux sciences de la vie et de la terre devrait être ajouté à ce cycle universitaire très spécifique.