Ils seront donc 6 à briguer les suffrages des 552 grands électeurs calédoniens le 24 septembre prochain. Les candidatures pour les sénatoriales sont closes depuis vendredi soir.
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6 candidats pour 2 sièges…. La plate-forme loyaliste a désigné le sénateur sortant Pierre Frogier et Gérard Poadja pour la représenter. Un candidat issu du Rassemblement Les Républicains, et un de Calédonie Ensemble. Il était important pour les partis qui composent la plate-forme d’unir leur force dans cette bataille. Et de ne rien relâcher dans cette période d’avant référendum de 2018, une étape cruciale pour l’avenir de la Calédonie.
C’est aussi pour l’avenir de la Calédonie que les Républicains Calédoniens ont décidé de présenter une candidate en la personne d’Isabelle Lafleur. Pas question pour le groupe de laisser le champ libre à quatre parlementaires issus de la plate-forme. Une question de démocratie estime-t-il. Et les Républicains Calédoniens espèrent tirer leur épingle du jeu à la faveur du panachage. Les grands électeurs peuvent en effet décider à leur guise de choisir un candidat sur une liste et un autre sur une 2ème.
Chez les indépendantistes, comme pour les législatives de juin, seule l’UNI a décidé de présenter des candidats. Il s’agit d’Emile Nechero et de Jean Creugnet. En se présentant à une nouvelle élection nationale, l’UNI entend occuper elle aussi le terrain politique pour défendre ses positions à Paris, mais aussi, en cas d’élection, pour prouver que pour elle, l’indépendance ne signifie pas pour autant une rupture avec la France.
Enfin, à noter la candidature de Manuel Millar. Ce candidat atypique entend informer le peuple et lui faire accepter l’idée de l’énergie divine, supposée régler les problèmes de chômage et de l’insécurité - notamment routière. Il avait déjà tenté en vain sa chance aux législatives
C’est aussi pour l’avenir de la Calédonie que les Républicains Calédoniens ont décidé de présenter une candidate en la personne d’Isabelle Lafleur. Pas question pour le groupe de laisser le champ libre à quatre parlementaires issus de la plate-forme. Une question de démocratie estime-t-il. Et les Républicains Calédoniens espèrent tirer leur épingle du jeu à la faveur du panachage. Les grands électeurs peuvent en effet décider à leur guise de choisir un candidat sur une liste et un autre sur une 2ème.
Chez les indépendantistes, comme pour les législatives de juin, seule l’UNI a décidé de présenter des candidats. Il s’agit d’Emile Nechero et de Jean Creugnet. En se présentant à une nouvelle élection nationale, l’UNI entend occuper elle aussi le terrain politique pour défendre ses positions à Paris, mais aussi, en cas d’élection, pour prouver que pour elle, l’indépendance ne signifie pas pour autant une rupture avec la France.
Enfin, à noter la candidature de Manuel Millar. Ce candidat atypique entend informer le peuple et lui faire accepter l’idée de l’énergie divine, supposée régler les problèmes de chômage et de l’insécurité - notamment routière. Il avait déjà tenté en vain sa chance aux législatives