Le Griffin’s Seven Nouméa se disputait ce week-end, au stade Numa-Daly. Un tournoi international jeunes de rugby à 7, remporté par la Section paloise pour les garçons et les Australiennes, côté filles. L’occasion pour les Cagous de se tester face à des équipes de haut niveau.
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Pour la 16ème année consécutive, la pelouse du stade Numa-Daly, à Nouméa, a vu défiler les meilleurs potentiels de moins de 16 ans de rugby à 7. Supervisés par Romain Varlet, les Cagous ont eu 14 minutes en dernier match de poule pour mettre la pression sur l’équipe du Vanuatu et marquer le maximum d’essais.
La grande majorité de ces joueurs évolue au pôle espoirs de Nouvelle-Calédonie. Mais ici, les compétitions sont rares donc l’expérience plus difficile à acquérir. Ce tournoi international est une belle opportunité pour se jauger face à cinq équipes de la région et de Métropole, et d’identifier notamment « les qualités intrinsèques de chacun », estime Romain Varlet. « En Métropole, ils ont un énorme jeu technique. Ici, nous sommes sur des physiques assez denses. Chacun joue avec ses qualités. Il y a du niveau et beaucoup d’engagements physiques. C’est un beau tournoi. »
Du potentiel, il y en également chez les féminines de moins de 19 ans. Quatre équipes se disputaient le titre : l’Australie, le Vanuatu, Wallis-et-Futuna et la Calédonie. Au terme des ces deux jours de compétition : les Australiennes remportent le Griffin’s seven Nouméa sur le score implacable de 45 à 0 face aux Wallisiennes.
Le reportage de Sheïma Riahi et Cédric Michaut
La grande majorité de ces joueurs évolue au pôle espoirs de Nouvelle-Calédonie. Mais ici, les compétitions sont rares donc l’expérience plus difficile à acquérir. Ce tournoi international est une belle opportunité pour se jauger face à cinq équipes de la région et de Métropole, et d’identifier notamment « les qualités intrinsèques de chacun », estime Romain Varlet. « En Métropole, ils ont un énorme jeu technique. Ici, nous sommes sur des physiques assez denses. Chacun joue avec ses qualités. Il y a du niveau et beaucoup d’engagements physiques. C’est un beau tournoi. »
Une culture du rugby différente
Du très haut niveau incarné par les Néo-Zélandais de Lindisfarne College et la section Paloise de Métropole, qui s'est imposée sur un score de 52 à 14 contre les Cagous. Favoris du tournoi, ces joueurs sont en centre de formation à Pau. Une structure d’excellence qui forme les futurs rugbymen professionnels. « C’est bien de se tester face à des équipes qui sont plus guerrières que nous, confie Arnaud Puyo, talonneur de l’équipe. On n’est pas les plus imposants. Ici, c’est plus un jeu direct. » De son côté, le directeur sportif de la section paloise se félicite du « bon niveau » de ce tournoi. « Ce sont des cultures différentes. C’est aussi ce qu’on est venu chercher. Ici, les garçons aiment beaucoup le défi physique. Le duel est vraiment une culture. »Du potentiel, il y en également chez les féminines de moins de 19 ans. Quatre équipes se disputaient le titre : l’Australie, le Vanuatu, Wallis-et-Futuna et la Calédonie. Au terme des ces deux jours de compétition : les Australiennes remportent le Griffin’s seven Nouméa sur le score implacable de 45 à 0 face aux Wallisiennes.
Le reportage de Sheïma Riahi et Cédric Michaut