Annulations surprises des retransmissions, déplacements impromptus des rencontres sportives, horaires aléatoires changeant au gré des réunions, médias de la région tenus à l'écart de ces changements... L'organisation médiatique de ces jeux est pour le moins chaotique.
Ce samedi matin, tout était prêt pour vous retransmettre les matchs de volley concernant la Nouvelle-Calédonie, Tahiti (dimanche) et Wallis et Futuna. Seulement voilà, la télévision papoue KUNDU TV, chargée par le Conseil des Jeux du Pacifique , de retransmettre les compétitions de volley, dans le cadre du pool des télévisions de la région, était dans l'incapacité de retransmettre la compétition Nouvelle-Calédonie- Nauru. Dommage car la Nouvelle-Calédonie a battu Nauru par 3 sets à 0.
Motif officiel? Un problème technique. Plus probablement, d'après les témoignages recueillis sur place, une installation tardive et donc, la détection également tardive de l'impossibilité de retransmettre cette compétition. Il faut savoir que c'est le conseil des jeux qui attribue d'autorité à telle ou telle télévision de la région la diffusion des différentes épreuves ou compétitions sportives.
Si seulement c'était un cas isolé... A cela, il faut y ajouter des changements de terrain décidés au gré des réunions des responsables de jeux décidés...là encore à la dernière minute. 3 matchs de football, concernant les calédoniennes, ont ainsi été déplacées sur des terrains d'entraînement, sans caméra et sans régie... rendant toute retransmission impossible. Heureusement, les images filmées par nos équipe sur place ont été visibles dans le journal télévisé du soir. D'une manière générale, les organisateurs ont tendance à déplacer les rencontres sur les terrains avec caméras et régies télévisées... quand il y a une équipe de PNG...
Toujours sans prévenir les médias de la région, les organisateurs modifient également les horaires des rencontres, rendant très compliquée la diffusion coordonnée des rencontres pour les différents territoires et pays du Pacifique. Le sommet aura été atteint avec la compétition de volley-ball dont le programme a été entièrement chamboulé...dans la nuit.
Aujourd'hui, Wallis et Futuna, les téléspectateurs attendaient beaucoup de la rencontre face à American Samoa (initialement Wallis et Futuna-Tonga) .
Ils en auront été privés par l'inconséquence certaine d'une organisation peu soucieuse du nécessaire respect dû aux téléspectateurs du Pacifique.
Motif officiel? Un problème technique. Plus probablement, d'après les témoignages recueillis sur place, une installation tardive et donc, la détection également tardive de l'impossibilité de retransmettre cette compétition. Il faut savoir que c'est le conseil des jeux qui attribue d'autorité à telle ou telle télévision de la région la diffusion des différentes épreuves ou compétitions sportives.
Si seulement c'était un cas isolé... A cela, il faut y ajouter des changements de terrain décidés au gré des réunions des responsables de jeux décidés...là encore à la dernière minute. 3 matchs de football, concernant les calédoniennes, ont ainsi été déplacées sur des terrains d'entraînement, sans caméra et sans régie... rendant toute retransmission impossible. Heureusement, les images filmées par nos équipe sur place ont été visibles dans le journal télévisé du soir. D'une manière générale, les organisateurs ont tendance à déplacer les rencontres sur les terrains avec caméras et régies télévisées... quand il y a une équipe de PNG...
Toujours sans prévenir les médias de la région, les organisateurs modifient également les horaires des rencontres, rendant très compliquée la diffusion coordonnée des rencontres pour les différents territoires et pays du Pacifique. Le sommet aura été atteint avec la compétition de volley-ball dont le programme a été entièrement chamboulé...dans la nuit.
Aujourd'hui, Wallis et Futuna, les téléspectateurs attendaient beaucoup de la rencontre face à American Samoa (initialement Wallis et Futuna-Tonga) .
Ils en auront été privés par l'inconséquence certaine d'une organisation peu soucieuse du nécessaire respect dû aux téléspectateurs du Pacifique.