De nombreuses manifestations de solidarité se sont déroulées depuis la fin de la semaine dans plusieurs pays océaniens, dont l’Australie et la Nouvelle-Zélande, en solidarité avec les victimes des attentats perpétrés sur le sol français, à Paris et dans sa région.
Vendredi dernier, à Auckland, une manifestation a eu lieu en hommage aux victimes de ces actes, dirigés notamment contre la rédaction du magazine Charlie Hebdo, mais aussi contre un supermarché kasher.
Ces attentats et ces prises d’otages se sont soldés par la mort de dix sept personnes, dont des journalistes et membres du personnel de Charlie Hebdo.
Sur la place Aotea, au cœur de la plus grande ville de Nouvelle-Zélande, plus de trois cent personnes ont défilé vendredi, brandissant pour la plupart des placards scandant le slogan désormais adopté à l’échelle mondiale : « Nous sommes Charlie ».
Parmi les personnes mobilisées, beaucoup étaient des membres de la communauté française résidant dans ce pays, mais aussi de simples citoyens néo-zélandais venus affirmer leur attachement aux libertés d’expression, fondements d’une société démocratique. Au plan gouvernemental, le Premier ministre néo-zélandais, John Key (centre-droite), réagissait dès jeudi 8 janvier 2015 à ces actes terroristes en exprimant sa solidarité et en condamnant fermement ces atteintes aux principes de liberté d’expression.
Tony Abbott, son homologue australien, évoquait ce week-end un entretien téléphonique avec le Président français, François Hollande, au cours duquel il a exprimé « la solidarité du peuple australien envers le peuple français dans ces heures très difficiles ».
« Ce n’est pas une lutte contre la religion, c’est une lutte contre l’extrémisme. Aucune communauté n’est ciblée, nous ciblons le terrorisme », a-t-il déclaré en écho aux attentats en France. En décembre 2014, un individu se réclamant de l’Islam avait pris en otages les clients d’un café en plein centre de Sydney, dans le quartier des affaires. Le forcené avait été abattu au cours de l’assaut donné par les forces spéciales.
En Australie aussi, depuis les attentats en France, plusieurs manifestations en solidarité ont eu lieu dans les principales villes du pays, comme Sydney, Melbourne ou encore Perth. À Melbourne, il a été recensé plus d’un millier de participants. À Sydney, la plus grande ville du pays, ce sont plus de deux mille personnes, pour la plupart membres de la communauté française, qui sont descendues dans la rue, sur le lieu même de la prise d’otages de décembre dernier, à Martin Place, au café Lindt. À cet endroit, ils ont déposé des milliers de bougies, avant d’observe rune minute de silence en mémoire des victimes des actes terroristes perpétrés en France. Dans la grande région aussi, en Océanie insulaire, les organisations médiatiques et leurs associations se sont mobilisées à travers des porte-voix comme la branche Asie-Pacifique de la fédération internationale des Journalistes (International Federation of Journalists, IFJ). « Ces attaques intolérables nos rappellent de la manière la plus violente possible les défis auxquels sont confrontés les journalistes à travers le monde, dans le cadre de leur métier », a notamment rappelé cette ONG. À Fidji, dans la capitale Suva, l’association nationale des médias a elle aussi condamné, à son échelle, le « meurtre horrible de journalistes et collègues ».
Source : http://newspad-pacific.info/
Ces attentats et ces prises d’otages se sont soldés par la mort de dix sept personnes, dont des journalistes et membres du personnel de Charlie Hebdo.
Sur la place Aotea, au cœur de la plus grande ville de Nouvelle-Zélande, plus de trois cent personnes ont défilé vendredi, brandissant pour la plupart des placards scandant le slogan désormais adopté à l’échelle mondiale : « Nous sommes Charlie ».
Parmi les personnes mobilisées, beaucoup étaient des membres de la communauté française résidant dans ce pays, mais aussi de simples citoyens néo-zélandais venus affirmer leur attachement aux libertés d’expression, fondements d’une société démocratique. Au plan gouvernemental, le Premier ministre néo-zélandais, John Key (centre-droite), réagissait dès jeudi 8 janvier 2015 à ces actes terroristes en exprimant sa solidarité et en condamnant fermement ces atteintes aux principes de liberté d’expression.
Tony Abbott, son homologue australien, évoquait ce week-end un entretien téléphonique avec le Président français, François Hollande, au cours duquel il a exprimé « la solidarité du peuple australien envers le peuple français dans ces heures très difficiles ».
« Ce n’est pas une lutte contre la religion, c’est une lutte contre l’extrémisme. Aucune communauté n’est ciblée, nous ciblons le terrorisme », a-t-il déclaré en écho aux attentats en France. En décembre 2014, un individu se réclamant de l’Islam avait pris en otages les clients d’un café en plein centre de Sydney, dans le quartier des affaires. Le forcené avait été abattu au cours de l’assaut donné par les forces spéciales.
En Australie aussi, depuis les attentats en France, plusieurs manifestations en solidarité ont eu lieu dans les principales villes du pays, comme Sydney, Melbourne ou encore Perth. À Melbourne, il a été recensé plus d’un millier de participants. À Sydney, la plus grande ville du pays, ce sont plus de deux mille personnes, pour la plupart membres de la communauté française, qui sont descendues dans la rue, sur le lieu même de la prise d’otages de décembre dernier, à Martin Place, au café Lindt. À cet endroit, ils ont déposé des milliers de bougies, avant d’observe rune minute de silence en mémoire des victimes des actes terroristes perpétrés en France. Dans la grande région aussi, en Océanie insulaire, les organisations médiatiques et leurs associations se sont mobilisées à travers des porte-voix comme la branche Asie-Pacifique de la fédération internationale des Journalistes (International Federation of Journalists, IFJ). « Ces attaques intolérables nos rappellent de la manière la plus violente possible les défis auxquels sont confrontés les journalistes à travers le monde, dans le cadre de leur métier », a notamment rappelé cette ONG. À Fidji, dans la capitale Suva, l’association nationale des médias a elle aussi condamné, à son échelle, le « meurtre horrible de journalistes et collègues ».
Source : http://newspad-pacific.info/