Le festival Ono'u 2015 se poursuit. La troisième « battle » a vu s’affronter jeudi une quarantaine de graffeurs par équipe de deux ou trois. Toutes les nationalités mixent leurs talents. Au fil des ans, le graffiti est devenu un langage universel.
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Reportage de Hélène Harte / Hiro Terorotua
Ono’u le graffiti pour passeport