Le groupe hôtelier a confirmé son intérêt pour les 14,3 % détenus par l’Etat dans la compagnie aérienne franco-néerlandaise.
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Le groupe convoite les parts de l'État au sein de la compagnie, à savoir 14,3 %, selon les informations des Échos et du Figaro, celles-ci sont estimés à 450 millions d’euros.
L'arrivée de l'hôtelier dans le capital du groupe franco-néerlandais pourrait signifier la fin d'une époque pour la compagnie nationale. Cette sortie de l'État du capital avait commencé par la prise de contrôle de KLM en 2004 par Air France, elle-même cotée en Bourse cinq ans plus tôt. Mais pour beaucoup de salariés, pilotes en tête, Air France reste une compagnie d'État qui peut compter sur l'argent public pour financer ses défaillances.
Si l'État et AccorHotels s'accordent pour se transmettre les 14,3 %, Air France-KLM serait totalement privatisée et indépendante des pouvoirs publics, qui disposent à ce jour d'un droit de vote double au conseil d'administration, en clair un droit de veto dans la plupart des cas.
Quelques détails avec Tiziana Marone :
L'arrivée de l'hôtelier dans le capital du groupe franco-néerlandais pourrait signifier la fin d'une époque pour la compagnie nationale. Cette sortie de l'État du capital avait commencé par la prise de contrôle de KLM en 2004 par Air France, elle-même cotée en Bourse cinq ans plus tôt. Mais pour beaucoup de salariés, pilotes en tête, Air France reste une compagnie d'État qui peut compter sur l'argent public pour financer ses défaillances.
Si l'État et AccorHotels s'accordent pour se transmettre les 14,3 %, Air France-KLM serait totalement privatisée et indépendante des pouvoirs publics, qui disposent à ce jour d'un droit de vote double au conseil d'administration, en clair un droit de veto dans la plupart des cas.
Quelques détails avec Tiziana Marone :
Rachat d'Air France