Ne dites plus vigiles, mais agents de sécurité ! En métropole, ils peuvent désormais être armés en cas de situations critiques. La Polynésie est-elle concernée par cette mesure ? Théoriquement oui mais les professionnels semblent sceptiques pour l'instant.
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D'ores et déjà la sensibilisation aux risques terroristes rentre pour 30 heures dans la formation initiale des agents de sécurité.
Pour l'heure, les agents de sécurité ne sont pas armés. "Je ne suis pas convaincu que pour l'instant cela soit très utile en Polynésie. Mais les choses peuvent évoluer", explique Daniel Bluet responsable opérationnel d'une société de sécurité. Selon le professionnel, si les agents de sécurité étaient armés, il faudrait bien sûr un cadre strict et rigoureux avec des formations.
Seuls l'aéroport, la gare maritime de Papeete et les évènements qui rassemblent une foule pourraient être considérés comme d'éventuelles cibles. Cela permettrait de limiter les situations et les armes concernées seraient bien définies. "Peut-être que la législation s'ouvrira sur des armes de quatrième ou deuxième catégorie", explique Jean-Paul Montel, directeur d'une société de sécurité.
Pour l'heure, les agents de sécurité ne sont pas armés. "Je ne suis pas convaincu que pour l'instant cela soit très utile en Polynésie. Mais les choses peuvent évoluer", explique Daniel Bluet responsable opérationnel d'une société de sécurité. Selon le professionnel, si les agents de sécurité étaient armés, il faudrait bien sûr un cadre strict et rigoureux avec des formations.
Seuls l'aéroport, la gare maritime de Papeete et les évènements qui rassemblent une foule pourraient être considérés comme d'éventuelles cibles. Cela permettrait de limiter les situations et les armes concernées seraient bien définies. "Peut-être que la législation s'ouvrira sur des armes de quatrième ou deuxième catégorie", explique Jean-Paul Montel, directeur d'une société de sécurité.