Lors d'un point presse ce mardi 28 avril, la cellule de crise sanitaire a exposé les gestes à adopter avec l'allègement du confinement : port du masque, lavage des mains et distanciation sociale.
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"La guerre n'est pas finie" a rappelé le ministre de la santé, Jacques Raynal. Alors que le confinement des Îles du Vent va s'alléger demain, mercredi 29 avril, la cellule de crise sanitaire a exposé les gestes qui doivent devenir des réflexes :
- le lavage fréquent des mains au moins pendant 30 secondes
- la distanciation sociale d'au moins 1 mètre et ne pas se toucher, même pour dire bonjour
- porter un masque pour se protéger et protéger les autres et pour limiter le contact des mains avec son visage
"Rendre le port du masque obligatoire n'est pas possible aujourd'hui," a reconnu le ministre de la santé. "Nous avons validé des masques artisanaux aux normes AFNOR, accessibles à toute couturière. Ils empêchent les petits postillons susceptibles de porter le virus."
Rendez-vous sur le site de l'AFNOR ici pour retrouver le patron déjà téléchargé un million de fois.
Il est rappelé toutefois que ces masques sont à usage non sanitaire et visent à protéger largement la population, avec un stock tendu de masques chirurgicaux sur le territoire. Leur efficacité de filtration se situe entre 70% et 80% des particules de 3 microns émises par la personne qui porte le masque en tissu (à condition de suivre les normes AFNOR).
Le ministre de la santé a également appelé les personnes en longue maladie notamment à reprendre contact avec leur médecin : "nous avons constaté que les salles d'attente des médecins s'étaient vidées [...] il faut reprendre le temps normal de sa maladie."
Le Bureau de veille sanitaire fait un travail d'enquête, "basé sur l'honnêteté des gens", afin d'identifier toutes les personnes qui ont potentiellement pu être en contact avec des personnes infectées. Les mesures barrière permettent de limiter ces risques.
Il n'existe pas de test de contagion, selon le Bureau de veille sanitaire, mais il estime que "14 jours après la fin des symptômes, il n'y a plus de risque". Aujourd'hui, 9 personnes sont encore sous surveillance et 49 ne présentent plus de signes de la maladie.
Les rassemblements familiaux et amicaux restent déconseillés.
Si cet allègement fonctionne, "dans un mois, on pourra presque dire que c'est fini. Presque, parce que nous dépendrons toujours de l'international" a prédit le ministre de la santé.
- le lavage fréquent des mains au moins pendant 30 secondes
- la distanciation sociale d'au moins 1 mètre et ne pas se toucher, même pour dire bonjour
- porter un masque pour se protéger et protéger les autres et pour limiter le contact des mains avec son visage
"Rendre le port du masque obligatoire n'est pas possible aujourd'hui," a reconnu le ministre de la santé. "Nous avons validé des masques artisanaux aux normes AFNOR, accessibles à toute couturière. Ils empêchent les petits postillons susceptibles de porter le virus."
Rendez-vous sur le site de l'AFNOR ici pour retrouver le patron déjà téléchargé un million de fois.
Il est rappelé toutefois que ces masques sont à usage non sanitaire et visent à protéger largement la population, avec un stock tendu de masques chirurgicaux sur le territoire. Leur efficacité de filtration se situe entre 70% et 80% des particules de 3 microns émises par la personne qui porte le masque en tissu (à condition de suivre les normes AFNOR).
Le ministre de la santé a également appelé les personnes en longue maladie notamment à reprendre contact avec leur médecin : "nous avons constaté que les salles d'attente des médecins s'étaient vidées [...] il faut reprendre le temps normal de sa maladie."
Le Bureau de veille sanitaire fait un travail d'enquête, "basé sur l'honnêteté des gens", afin d'identifier toutes les personnes qui ont potentiellement pu être en contact avec des personnes infectées. Les mesures barrière permettent de limiter ces risques.
Il n'existe pas de test de contagion, selon le Bureau de veille sanitaire, mais il estime que "14 jours après la fin des symptômes, il n'y a plus de risque". Aujourd'hui, 9 personnes sont encore sous surveillance et 49 ne présentent plus de signes de la maladie.
Les rassemblements familiaux et amicaux restent déconseillés.
Si cet allègement fonctionne, "dans un mois, on pourra presque dire que c'est fini. Presque, parce que nous dépendrons toujours de l'international" a prédit le ministre de la santé.