Des blessés et des familles en deuil ont été reçus par le pape François ce samedi 24 septembre. Le pape a renouvelé ses appels au dialogue entre chrétiens et musulmans.
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Montrer sa compassion aux familles. Le pape François a accueilli ce samedi 24 septembre, en audience privée, 180 proches des victimes des attentats de Nice (Alpes-Maritimes) du 14 juillet, réunis dans la même émotion, la même douleur. Une cérémonie courte avec un message de fraternité. "On ne pourra répondre à cette attaque démoniaque qu'à travers les œuvres de Dieu que sont l'amour, le pardon et le respect du prochain, surtout s'il a une autre religion", a déclaré le pape.
Etaient également présents à Rome quelque 150 soutiens niçois partis en car, ainsi qu'une délégation officielle de l'association interreligieuse «Alpes-Maritimes Fraternité», comprenant des représentants juifs, musulmans, orthodoxes et protestants. Cette dimension inter-religieuse a été saluée par le pape François pour qui, "on ne peut répondre aux assauts du démon que par les oeuvres de Dieu qui sont pardon, amour et respect du prochain, même s'il est différent".
Le chef de l'Église catholique a tenu à inviter chaque personne touchée par l'attentat quelle que soit sa religion. Parmi les 86 victimes, un tiers était de confession musulmane. Tous sont arrivés en avion de Nice, en quête de réconfort. Deux mois après, la douleur est encore très vive. Après l'audience, le pape a tenu à saluer une par une les personnes présentes.
La dimension symbolique de cette rencontre avec le pape François était extrêmement importante. Le pape a eu un message de paix universelle et de dialogue interreligieux. Le pape François avait été profondément marqué par l'attentat de Nice du 14-Juillet. "Dès le lendemain, il avait condamné de la manière la plus absolue cet acte terroriste. Il avait exprimé sa profonde tristesse, sa solidarité envers toutes les victimes. Les familles que nous avons rencontrées avant sont particulièrement sensibles à ce message du pape. Cette démarche, le pape, la veut œcuménique, c'est-à-dire sans distinction de religion"
Etaient également présents à Rome quelque 150 soutiens niçois partis en car, ainsi qu'une délégation officielle de l'association interreligieuse «Alpes-Maritimes Fraternité», comprenant des représentants juifs, musulmans, orthodoxes et protestants. Cette dimension inter-religieuse a été saluée par le pape François pour qui, "on ne peut répondre aux assauts du démon que par les oeuvres de Dieu qui sont pardon, amour et respect du prochain, même s'il est différent".
Quête de réconfort
Le chef de l'Église catholique a tenu à inviter chaque personne touchée par l'attentat quelle que soit sa religion. Parmi les 86 victimes, un tiers était de confession musulmane. Tous sont arrivés en avion de Nice, en quête de réconfort. Deux mois après, la douleur est encore très vive. Après l'audience, le pape a tenu à saluer une par une les personnes présentes.
La dimension symbolique de cette rencontre avec le pape François était extrêmement importante. Le pape a eu un message de paix universelle et de dialogue interreligieux. Le pape François avait été profondément marqué par l'attentat de Nice du 14-Juillet. "Dès le lendemain, il avait condamné de la manière la plus absolue cet acte terroriste. Il avait exprimé sa profonde tristesse, sa solidarité envers toutes les victimes. Les familles que nous avons rencontrées avant sont particulièrement sensibles à ce message du pape. Cette démarche, le pape, la veut œcuménique, c'est-à-dire sans distinction de religion"