Au-delà des motu paradisiaques qui regroupent hôtels luxueux et touristes fortunés, le coeur de l'île semble oublié délaissé. D'autant plus que les navettes pour s'y rendre restent payantes la plupart du temps.Totalement isolés, les commerçants peinent à attirer les visiteurs.
Un dossier signé Cybèle Plichart et Patita Savea