La campagne de "crowdfunding" Alors on Handidanse continue. Sur leur page facebook, Oceania Film dévoile quatre extraits du film-documentaire tant attendu de Jacques Navarro-Rovira.
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Ce sont des personnes valides et des personnes porteuses de handicap. Elles partagent la même passion : la danse. Jacques Navarro-Roviera a été sensibilisé lors d'un voyage à Paris par la représentation d'une école de handidanse dirigée par Cathie Leveillé-Porche. Cette dernière, sous la demande du réalisateur, a accepté de venir à Tahiti avec son assistante pour enseigner l'approche de la danse aux personnes atteintes d'un handicap. C'est Marion Fayn et Tuari'i Tracqui, qui suite à cet enseignement, ont pris le relais pour organiser un spectacle le 14 janvier dernier. Ce film raconte cette incroyable histoire.
Une campagne de dons est lancée depuis mi-mai afin de permettre la tenue d'autres spectacles, et ainsi de pérenniser des projets aussi émouvants. Elle s'achève dans 15 jours. Pour faire un don, trois possibilités sont offertes :
1/ En ligne sur https://www.touscoprod.com/fr/alorsonhandidanse
2/ Dans toutes les boutiques Vini (sauf Mahina)
3/ A la Fraternité chrétienne des handicaptés (FRAT), quartier de la Mission
Portraits bouleversants de quatre danseurs de la troupe et une présentation générale du film :
Une campagne de dons est lancée depuis mi-mai afin de permettre la tenue d'autres spectacles, et ainsi de pérenniser des projets aussi émouvants. Elle s'achève dans 15 jours. Pour faire un don, trois possibilités sont offertes :
1/ En ligne sur https://www.touscoprod.com/fr/alorsonhandidanse
2/ Dans toutes les boutiques Vini (sauf Mahina)
3/ A la Fraternité chrétienne des handicaptés (FRAT), quartier de la Mission
Portraits bouleversants de quatre danseurs de la troupe et une présentation générale du film :
Il ne troquerait son sourire pour rien au monde. Heimanari'i est un ambassadeur de la joie, passionné par la danse. Ses mouvements lents et gracieux font de lui un choix privilégié pour la troupe.
Hanivai est timide, rêveuse. Mais elle rêve de danse, ses grands yeux marrons pétillent lorsqu'elle est en compagnie de Tuari'i Tracqui, son chorégraphe.
Bavarde, débordante d'énergie... Bernadette pose des questions, conseille même. Elle a son mot à dire dans la troupe, et le fait savoir.
Apetahi ressent son handicap avec douleur. Mais, grâce aux soutiens et à l'apprentissage apportés par Tuari'i et Marion, elle est telle une fleur qui s'ouvre petit à petit.
La troupe mêlant personnes valides et invalides est unique en son genre. Elle a besoin de dons pour assurer son développement et sa pérennisation.