Presque tous les enfants de la fraternité chrétienne ont retrouvé le chemin du centre à la mission, seuls ceux des îles manquent à l'appel. C'est la première que le centre de la fraternité chrétienne ferme pour une période aussi longue mais après les bilans effectués, les enfants n'ont rien perdu.
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Après un difficile temps de confinement, la fraternité chrétienne a rouvert ses portes progressivement depuis la mi-mai. Une cinquantaine d’enfants de 3 à 18 ans y sont scolarisés tout en bénéficiant d’une équipe médicale dédiée à leurs soins. Peu à peu, les élèves sont revenus. Emilienne, qui doit se déplacer en fauteuil roulant, est heureuse de retrouver "ses camarades et ses éducateurs" car elle n’a pas aimé du tout le confinement à la maison.
Avec trois autres camarades, Emilienne travaille cette semaine à la création d’un pareu. Dans l’atelier de création, les enfants sont concentrés. Dans les bureaux, les habitudes de travail reprennent aussi. La COVID-19 a permis à toute l’équipe de tester les mesures d’urgences, et surtout de tisser un réseau avec les kinésithérapeutes et infirmiers libéraux qui ont assuré les soins des enfants chez eux pendant le confinement alors que le centre était fermé.
Pauline Moua, présidente de la fraternité chrétienne, se rappelle les longues heures de préparations, du temps passé au téléphone et de concertation pour s’assurer de la continuité des soins pour chacun des enfants. Avec ses collègues, Benoît Schmitt, kinésithérapeute à la "frat’" comme la surnomme, a pu examiner les enfants de retour de confinement. Ils sont restés en contact permanent avec les collègues libéraux sur le terrain pour le suivi à distance. Le constat post-confinement : les enfants sont tous dans un état physique très proche de celui d’avant le confinement. Une réussite, donc.
Aujourd’hui, près d’un mois après la réouverture du centre, les enfants sont presque tous revenus. Certains ont pris un peu de poids, confinés chez eux avec les bons petits plats de la famille, mais les exercices et les jeux mis en place par les éducateurs leur permettront rapidement de perdre le surplus et de retrouver une facilité de motricité et de mobilité optimale.
Parmi les activités : jeux de ballons, piscine ou encore équitation au centre équestre de Pirae où ils apprennent à s’occuper et à monter des poneys. Mais l’atelier préféré de tous, reste celui de la musique. Certains savent jouer du to’ere, du ukulele, d’autres du synthétiseur, mais tous chantent avec le cœur. Une façon aussi de s’amuser et d’oublier le confinement dû au coronavirus.
Avec trois autres camarades, Emilienne travaille cette semaine à la création d’un pareu. Dans l’atelier de création, les enfants sont concentrés. Dans les bureaux, les habitudes de travail reprennent aussi. La COVID-19 a permis à toute l’équipe de tester les mesures d’urgences, et surtout de tisser un réseau avec les kinésithérapeutes et infirmiers libéraux qui ont assuré les soins des enfants chez eux pendant le confinement alors que le centre était fermé.
Pauline Moua, présidente de la fraternité chrétienne, se rappelle les longues heures de préparations, du temps passé au téléphone et de concertation pour s’assurer de la continuité des soins pour chacun des enfants. Avec ses collègues, Benoît Schmitt, kinésithérapeute à la "frat’" comme la surnomme, a pu examiner les enfants de retour de confinement. Ils sont restés en contact permanent avec les collègues libéraux sur le terrain pour le suivi à distance. Le constat post-confinement : les enfants sont tous dans un état physique très proche de celui d’avant le confinement. Une réussite, donc.
Aujourd’hui, près d’un mois après la réouverture du centre, les enfants sont presque tous revenus. Certains ont pris un peu de poids, confinés chez eux avec les bons petits plats de la famille, mais les exercices et les jeux mis en place par les éducateurs leur permettront rapidement de perdre le surplus et de retrouver une facilité de motricité et de mobilité optimale.
Parmi les activités : jeux de ballons, piscine ou encore équitation au centre équestre de Pirae où ils apprennent à s’occuper et à monter des poneys. Mais l’atelier préféré de tous, reste celui de la musique. Certains savent jouer du to’ere, du ukulele, d’autres du synthétiseur, mais tous chantent avec le cœur. Une façon aussi de s’amuser et d’oublier le confinement dû au coronavirus.
Fraternité chrétienne, reprise des activités