La PJJ a suivi 613 jeunes l'année dernière. D'après la directrice du service de la protection judiciaire de la jeunesse, 8 jeunes sur 10 ne récidivent pas après avoir été placés en famille d'accueil grâce à l'intervention de la PJJ. Le placement a donc un impact positif sur la réduction de la récidive chez les jeunes en difficulté mais la PJJ manque de familles d'acceuil. En effet, seules 15 familles travaillent avec la PJJ à l'heure actuelle. D'où l'importance du recrutement de familles d'accueil pour aider les jeunes en difficulté. Les critères pour devenir famille d'accueil ? La probité et la disponibilité d'une chambre pour l'enfant. La PJJ travaille en étroite collaboration avec d'autres partenaires pour offrir un soutien complet à ces mineurs.
Liliane Vallois répond aux questions d'Ibrahim Ahmed Hazi :