La Nouvelle-Calédonie va poursuivre jusqu'au 31 juillet 2021 la limitation drastique de sa desserte aérienne internationale, pour se protéger du coronavirus qui ne circule pas dans l'archipel.
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Début septembre, ces mesures prises initialement en mars avaient déjà été prolongées jusqu'en mars 2021.
Le trafic aérien est limité à une liaison par semaine depuis la métropole via Tokyo pour les urgences familiales, médicales ou professionnelles, ainsi qu'une autre vers Sydney en Australie pour les évacuations sanitaires "sauf évolution favorable de la situation mondiale", a indiqué l'exécutif calédonien.
Deux vols hebdomadaires sont par ailleurs opérés vers Wallis et Futuna, exemptes elles-aussi de Covid-19.
Des rotations ponctuelles vont aussi être organisées dans la zone Pacifique pour permettre aux résidents de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française et du Vanuatu de rejoindre leurs familles, a-t-on indiqué de même source.
Le gouvernement a en revanche "invité" les étudiants calédoniens qui se trouvent en métropole "à rester où ils se trouvent afin de respecter les mesures de confinement" tandis que ceux "en fin de cursus" doivent se signaler auprès du centre opérationnel en charge des rapatriements.
Six vols de fret supplémentaires en provenance de Tokyo seront programmés "avant les fêtes de fin d'année", pour acheminer des marchandises: "médicaments et fournitures pour les établissements de soins, matériel de dépannage des chaînes de production, fret postal, denrées alimentaires périssables".
Seulement 29 cas de Covid-19 (et aucun décès) ont été enregistrés depuis le début de l'épidémie en Nouvelle-Calédonie où le virus ne circule pas. Un strict contrôle sanitaire des frontières impose à tout arrivant un isolement de 14 jours dans des hôtels réquisitionnés.
Cette quatorzaine est payée par le territoire sous réserve de répondre à un des critères prioritaires définis par les autorités. Toutefois, les entreprises ont la possibilité de faire venir des professionnels indispensables à leur activité, en la prenant à leur charge.
Mardi, le gouvernement a étendu ce dispositif "de quarantaine payante" aux particuliers "ayant un besoin impérieux" de se rendre en Nouvelle-Calédonie mais pas considérés comme prioritaires.
"Nous sommes un petit village de Gaulois qui résiste. Tout autour de nous, le monde connaît une recrudescence du virus et nous avons donc la responsabilité de maintenir la Nouvelle-Calédonie dans cette situation favorable", avait expliqué en septembre le président du gouvernement collégial, Thierry Santa.
Le trafic aérien est limité à une liaison par semaine depuis la métropole via Tokyo pour les urgences familiales, médicales ou professionnelles, ainsi qu'une autre vers Sydney en Australie pour les évacuations sanitaires "sauf évolution favorable de la situation mondiale", a indiqué l'exécutif calédonien.
Deux vols hebdomadaires sont par ailleurs opérés vers Wallis et Futuna, exemptes elles-aussi de Covid-19.
Des rotations ponctuelles vont aussi être organisées dans la zone Pacifique pour permettre aux résidents de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française et du Vanuatu de rejoindre leurs familles, a-t-on indiqué de même source.
Le gouvernement a en revanche "invité" les étudiants calédoniens qui se trouvent en métropole "à rester où ils se trouvent afin de respecter les mesures de confinement" tandis que ceux "en fin de cursus" doivent se signaler auprès du centre opérationnel en charge des rapatriements.
Six vols de fret supplémentaires en provenance de Tokyo seront programmés "avant les fêtes de fin d'année", pour acheminer des marchandises: "médicaments et fournitures pour les établissements de soins, matériel de dépannage des chaînes de production, fret postal, denrées alimentaires périssables".
Seulement 29 cas de Covid-19 (et aucun décès) ont été enregistrés depuis le début de l'épidémie en Nouvelle-Calédonie où le virus ne circule pas. Un strict contrôle sanitaire des frontières impose à tout arrivant un isolement de 14 jours dans des hôtels réquisitionnés.
Cette quatorzaine est payée par le territoire sous réserve de répondre à un des critères prioritaires définis par les autorités. Toutefois, les entreprises ont la possibilité de faire venir des professionnels indispensables à leur activité, en la prenant à leur charge.
Mardi, le gouvernement a étendu ce dispositif "de quarantaine payante" aux particuliers "ayant un besoin impérieux" de se rendre en Nouvelle-Calédonie mais pas considérés comme prioritaires.
"Nous sommes un petit village de Gaulois qui résiste. Tout autour de nous, le monde connaît une recrudescence du virus et nous avons donc la responsabilité de maintenir la Nouvelle-Calédonie dans cette situation favorable", avait expliqué en septembre le président du gouvernement collégial, Thierry Santa.