En Ligue 1, le PSG a corrigé l'OM 5-1 au stade Vélodrome. Il s'agit de la pire défaite de l'OM dans un clasico depuis 40 ans. L'OM n'avait pas été battu par quatre buts d'écart à domicile depuis 1953.
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Le Paris Saint-Germain a surclassé l'Olympique de Marseille dans le "clasico" de la Ligue 1, dimanche 26 février au Stade Vélodrome. Les Parisiens, supérieurs dans tous les compartiments du jeu, ont tué le suspense dès la sixième minute de jeu en ouvrant le score par Marquinhos.
Le reste du match a ressemblé à un chemin de croix pour l'OM, qui a encaissé des buts par Cavani, Draxler, Lucas et Matuidi, sauvant l'honneur par son défenseur Rod Fanni. Ce 5-1 constitue le score le plus large enregistré dans les confrontations entre les deux équipes depuis 1978, et la plus large défaite à domicile de l'OM depuis les années 1950.
Et dire qu'Unai Emery n'avait pas titularisé l'Argentin Angel Di Maria, qui avait fait très mal au Barça en Ligue des champions ! Le coach espagnol du PSG avait en revanche réservé une grosse surprise en titularisant un autre Argentin, Javier Pastore, en dépit d'une saison gâchée par les pépins physiques (10 matches seulement toutes compétitions confondues avant ce clasico).
Grâce à cette démonstration, le PSG recolle à trois points du leader Monaco, et devance même à la 2e place l'autre équipe à 59 points, Nice, grâce à sa différence de buts (+35 pour les Parisiens, +23 pour les Aiglons). Mission accomplie.
L'ambiance bouillante d'un Vélodrome à l'affluence record (65.252 spectateurs) n'a pas suffi à transcender les Marseillais, handicapés par les blessures, et victimes de leurs insuffisances en défense. Cette équipe marseillaise, déjà corrigée deux fois par Monaco, a montré ses limites à se frotter aux très gros du championnat...
Le reste du match a ressemblé à un chemin de croix pour l'OM, qui a encaissé des buts par Cavani, Draxler, Lucas et Matuidi, sauvant l'honneur par son défenseur Rod Fanni. Ce 5-1 constitue le score le plus large enregistré dans les confrontations entre les deux équipes depuis 1978, et la plus large défaite à domicile de l'OM depuis les années 1950.
Et dire qu'Unai Emery n'avait pas titularisé l'Argentin Angel Di Maria, qui avait fait très mal au Barça en Ligue des champions ! Le coach espagnol du PSG avait en revanche réservé une grosse surprise en titularisant un autre Argentin, Javier Pastore, en dépit d'une saison gâchée par les pépins physiques (10 matches seulement toutes compétitions confondues avant ce clasico).
Le public du Vélodrome n'a pas suffi
Grâce à cette démonstration, le PSG recolle à trois points du leader Monaco, et devance même à la 2e place l'autre équipe à 59 points, Nice, grâce à sa différence de buts (+35 pour les Parisiens, +23 pour les Aiglons). Mission accomplie.
L'ambiance bouillante d'un Vélodrome à l'affluence record (65.252 spectateurs) n'a pas suffi à transcender les Marseillais, handicapés par les blessures, et victimes de leurs insuffisances en défense. Cette équipe marseillaise, déjà corrigée deux fois par Monaco, a montré ses limites à se frotter aux très gros du championnat...
L'ambiance des très grands soirs pour cet #OMPSG #OM #Clasico pic.twitter.com/ShyM2hfbdY
— Alexandre Jacquin (@AJac13) 26 février 2017