Les nacres de Raroia, transférées dans le lagon de Takume ne présentent aucun danger pour la production de cet atoll du centre Ouest des Tuamotu. Les prélèvements effectués par la Direction des ressources marines et minières sont négatifs.
•
Fin septembre 2016, un groupe de perliculteurs de Takume avait dénoncé le transfert sans autorisation de 2 000 nacres de Raroia vers Takume effectué par un perliculteur installé à Raroia. L’objectif était de ré-ensemencer un stock d’huîtres sauvages suite à la réduction du collectage dans le lagon de Takume.
Face à cette situation, certains habitants de Takume ont soupçonné ces huîtres perlières d’être malades et susceptibles de contaminer toutes les nacres du lagon. Ces huîtres perlières ayant été retirées du lagon, les prélèvements par la Direction des Ressources Marines et Minières (DRMM) n’ont pu être réalisés pour analyse. Cependant, afin de rassurer la population, la DRMM a alors pris l’initiative d’analyser les huîtres perlières localisées à proximité de la zone où les 2 000 nacres ont été installées.
Des huîtres perlières d’élevage, qui pourraient être originaires de Raroia, ont également été collectées sur le site. Les analyses effectués par les scientifiques de la DRMM ont particulièrement porté sur la recherche de facteurs d’origine infectieuse avec pour objectif l’identification d’agents pathogènes susceptibles de provoquer l’apparition de maladies et/ou de mortalité massive et anormale.
Les résultats de ces analyses ont révélé que les lots d’huîtres perlières collectés ne présentent aucun agent pathogène susceptible de provoquer des mortalités importantes et/ou de contaminer les autres productions de l’atoll de Takume.
Face à cette situation, certains habitants de Takume ont soupçonné ces huîtres perlières d’être malades et susceptibles de contaminer toutes les nacres du lagon. Ces huîtres perlières ayant été retirées du lagon, les prélèvements par la Direction des Ressources Marines et Minières (DRMM) n’ont pu être réalisés pour analyse. Cependant, afin de rassurer la population, la DRMM a alors pris l’initiative d’analyser les huîtres perlières localisées à proximité de la zone où les 2 000 nacres ont été installées.
Des huîtres perlières d’élevage, qui pourraient être originaires de Raroia, ont également été collectées sur le site. Les analyses effectués par les scientifiques de la DRMM ont particulièrement porté sur la recherche de facteurs d’origine infectieuse avec pour objectif l’identification d’agents pathogènes susceptibles de provoquer l’apparition de maladies et/ou de mortalité massive et anormale.
Les résultats de ces analyses ont révélé que les lots d’huîtres perlières collectés ne présentent aucun agent pathogène susceptible de provoquer des mortalités importantes et/ou de contaminer les autres productions de l’atoll de Takume.