Un policier municipal de Papara, déjà impliqué dans un trafic d’ice, a été mis en examen, vendredi 13 décembre, pour "non-assistance à personne en danger". Le mutoi est suspecté de ne pas avoir appelé les secours à l’un de ses proches, une mule, qui faisait un malaise.
•
C’est une information de nos confrères de TNTV. Le mutoi est suspecté de ne pas avoir appelé les secours alors que l’un de ses proches, une mule qui transportait de l’ice, faisait un malaise et décédait dans la foulée. Le décès de la mule, un quadrégnaire, remonte à un peu moins de deux ans. L’histoire était connue du milieu du trafic d’ice. Lors d’un procès devant le tribunal correctionnel sur un réseau de méthamphétamine, l’un des prévenus y avait fait référence.
Comme nous le révelions à l'époque, suite à ces déclarations, le parquet avait alors ouvert une enquête préliminaire pour empoisonnement. Une information judiciaire avait ensuite été confiée à un juge d’instruction. Une procédure qui a permis, en mars dernier, l’exhumation du corps de la victime. Son autopsie avait révélé que sa dépouille contenait effectivement une quarantaine de boudins d’ice.
En fin de semaine dernière, l’un de ses beaux-frères, policier municipal, a été placé en garde à vue à la gendarmerie en marge de cette affaire. Après avoir été présenté devant un juge d’instruction, il a été mis en examen, vendredi, pour non-assistance à personne en danger. Le prévenu a déjà eu maille à partir avec la justice, il avait été arrêté en juillet dernier et mis en examen dans le cadre d’un trafic de méthamphétamine, selon Tahiti Infos.
Comme nous le révelions à l'époque, suite à ces déclarations, le parquet avait alors ouvert une enquête préliminaire pour empoisonnement. Une information judiciaire avait ensuite été confiée à un juge d’instruction. Une procédure qui a permis, en mars dernier, l’exhumation du corps de la victime. Son autopsie avait révélé que sa dépouille contenait effectivement une quarantaine de boudins d’ice.
En fin de semaine dernière, l’un de ses beaux-frères, policier municipal, a été placé en garde à vue à la gendarmerie en marge de cette affaire. Après avoir été présenté devant un juge d’instruction, il a été mis en examen, vendredi, pour non-assistance à personne en danger. Le prévenu a déjà eu maille à partir avec la justice, il avait été arrêté en juillet dernier et mis en examen dans le cadre d’un trafic de méthamphétamine, selon Tahiti Infos.