Les autorités australiennes ont arraisonné un yacht le 2 février, avec 1,4 tonne de cocaïne à bord. Une nouvelle saisie importante dans le Pacifique, après les deux voiliers arrêtés fin janvier, en Polynésie française, avec 1,5 tonnes à bord.
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Le navire, baptisé Elakha, avait quitté la Nouvelle-Zélande début janvier. Il aurait rencontré le "bateau-mère" en pleine mer afin de récupérer la drogue à son bord : 1,4 tonnes au total. Les deux hommes, le propriétaire néo-zélandais du bateau âgé de 63 ans, et un suisso-fidjien de 54 ans, ont été arrêtés à bord le 2 février, à 300 km des côtes de Sydney (Australie), par les gardes-côtes australiens. Les deux suspects ont été mis en examen pour importation de drogue en bande organisée. Ils comparaissent ce 6 février à la "Central Local Court", en Australie. Ils encourent la prison à vie.
Cette nouvelle saisie fait écho à celle effectuée en Polynésie française, fin janvier. Deux voiliers remplis de cocaïne avaient été arraisonnés par la Marine Nationale et les douanes, à Arue et aux îles Marquises, pour un total de 1 500 kilos de drogue. La Polynésie française tout comme les autres territoires français du Pacifique ne sont pas les véritables destinations de la cocaïne, c’est plutôt le marché australien qui intéresse les barons de la drogue. De nouvelles routes sont alors tracées entre la Colombie et l’Australie par les trafiquants.
C’est ce qu’explique le Directeur des opérations douanières de la DNRED (Direction Nationale du Renseignement et des Enquêtes Douanières). Pour des raisons de protection de sa famille, il n’a pas souhaité que son nom soit indiqué. Il est joint par Tiziana Marone :
Cette nouvelle saisie fait écho à celle effectuée en Polynésie française, fin janvier. Deux voiliers remplis de cocaïne avaient été arraisonnés par la Marine Nationale et les douanes, à Arue et aux îles Marquises, pour un total de 1 500 kilos de drogue. La Polynésie française tout comme les autres territoires français du Pacifique ne sont pas les véritables destinations de la cocaïne, c’est plutôt le marché australien qui intéresse les barons de la drogue. De nouvelles routes sont alors tracées entre la Colombie et l’Australie par les trafiquants.
C’est ce qu’explique le Directeur des opérations douanières de la DNRED (Direction Nationale du Renseignement et des Enquêtes Douanières). Pour des raisons de protection de sa famille, il n’a pas souhaité que son nom soit indiqué. Il est joint par Tiziana Marone :
1,5 tonnes de cocaïne saisie en Polynésie fin janvier