C'est la grogne chez les résidents de la vallée d' Ahonu. Depuis les intempéries du 12 décembre ils soupçonnent des sociétés privées d'extraire du tout venant dans leur rivière avec l'autorisation du maire.
Pendant que les sinistrés de la côte Est pansent leurs plaies, les riverains résidant à proximité des rivières n'en peuvent plus d'attendre que l'équipement vienne réaliser les travaux d'enrochement.
Dans la vallée d' Ahonu les habitants soupçonnent des sociétés privées autorisées par le maire de prélever du tout venant au lieu de venir renforcer leurs berges.
Ismael Tahiata / Christian Deso
Un lotissement social doit être construit à proximité de chez eux, au PK 23,9, aux abords d'une rivière qui peut déborder selon eux à tout moment.
Le ministère du logement affirme pourtant que toutes les précautions vont être prises.
Helène Harte / Jacques Damour
Dans la vallée d' Ahonu les habitants soupçonnent des sociétés privées autorisées par le maire de prélever du tout venant au lieu de venir renforcer leurs berges.
Ismael Tahiata / Christian Deso
C'est la grogne chez les résidents de la vallée de Ahonu. Depuis les intempéries du 12 décembre ils voient des sociétés privées extraire du tout venant dans leur rivière avec l'autorisation du maire.
•
C'est pour éviter le contexte du 12 décembre dernier que des habitants de Paea veulent alerter les autorités.Un lotissement social doit être construit à proximité de chez eux, au PK 23,9, aux abords d'une rivière qui peut déborder selon eux à tout moment.
Le ministère du logement affirme pourtant que toutes les précautions vont être prises.
Helène Harte / Jacques Damour
Un lotissement social doit être construit à proximité de chez eux, au PK 23,9, aux abords d'une rivière qui peut déborder selon eux à tout moment.
Le ministère du logement affirme pourtant que toutes les précautions vont être prises.
Helène Harte, Jacques Damour
•
L'Office Polynésien de l'Habitat a enregistré 3000 demandes de logements sociaux toujours en attente.