Michel Toomaru, le Secrétaire Général du SAPAI* à Air Tahiti, hausse à nouveau le ton. Un an après la grève qui avait paralysée la compagnie, il revient sur la nature des négociations.
•
Michel Toomaru dénonce « les agissements de la direction de la compagnie qui obligent les employés des îles à signer la baisse de leurs heures de travail faute de quoi ils seraient licenciés ».
On l’écoute au micro de Fernand Roomataroa :
De son côté, la direction rappelle qu’elle applique le protocole d’accord signé par tous les syndicats, sauf le SAPAI. Elle juge le plan de réduction incontournable. Depuis 2017, Air Tahiti a notamment entrepris d’accompagner financièrement les employés concernés par la réduction d’effectifs.
*SAPAI : Syndicat Autonome du Personnel Aéronautique Îles.Michel Toomaru déclare "il y a un peu plus d'un an, en mai 2016, les employés avaient fait la grève à cause du plan social qu'Air Tahiti voulait mettre en place. Les différents syndicats au sein de cette compagnie avaient tous signés le protocle d'accord, sauf le SAPAI qui s'est retrouvé lésé dans l'affaire."
On l’écoute au micro de Fernand Roomataroa :
De son côté, la direction rappelle qu’elle applique le protocole d’accord signé par tous les syndicats, sauf le SAPAI. Elle juge le plan de réduction incontournable. Depuis 2017, Air Tahiti a notamment entrepris d’accompagner financièrement les employés concernés par la réduction d’effectifs.
*SAPAI : Syndicat Autonome du Personnel Aéronautique Îles.Michel Toomaru déclare "il y a un peu plus d'un an, en mai 2016, les employés avaient fait la grève à cause du plan social qu'Air Tahiti voulait mettre en place. Les différents syndicats au sein de cette compagnie avaient tous signés le protocle d'accord, sauf le SAPAI qui s'est retrouvé lésé dans l'affaire."